Ce 21 mars, journée internationale des forêts, avec 200 organisations du monde entier, nous appelons l’Organisation de l’ONU pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) à modifier sa définition, qui date de 1948, de ce qu’est une forêt. Cette définition démodée permet aux industries du bois, de la pâte à papier, du papier et de l’emballage de cacher, derrière l’image positive de la forêt, les effets écologiques et sociaux dévastateurs des plantations industrielles d’arbres. Il est grand temps, y compris du point de vue de l’urgence climatique, d’exclure les plantations industrielles d’arbres de la définition, parce que « les plantations ne sont pas des forêts ».