Dans une nouvelle édition augmentée et mise à jour du Petit Manuel de la transition, Attac met en débat une multitude de propositions pour changer de modèle. Des propositions et une méthode : la construction de convergences. Car si les mouvements sociaux ne parviennent pas à travailler ensemble, nous serons emportés par les désastres qui s’annoncent. N’attends pas la prochaine crise pour te révolter, passe à l’Attac !

À l’occasion de la sortie du livre en librairie, nous proposons une offre spéciale d’adhésion à Attac.

Les rideaux sont tirés sur la COP 21. Si elle a constitué un indéniable succès politique en amenant 195 pays aux intérêts très diversifiés à s’engager à lutter contre les changements climatiques, dans une perspective citoyenne il est certain que l’entente signée - à cause de la cible fixée et surtout parce qu’elle constitue une position de principe non contraignante – ne sauvera pas la planète.

La direction de BNP Paribas a annoncé le 3 mai dernier au Comité central d’entreprise la fermeture de ses filiales dans les îles Caïmans. C’est le résultat direct de la pression des Faucheurs de chaises sur les banques impliquées dans les paradis fiscaux, avec, en moins d’un an, plus de quarante actions de réquisitions citoyennes de chaises dans toute la France. Cette première victoire en appelle d’autres : elle prouve qu’avec des actions de désobéissance civile non-violentes, les citoyen·ne·s peuvent faire céder un mastodonte dont le bilan équivaut au PIB de la France.

Ce mardi 24 mai, Attac dévoile un document et révèle sur France Inter et sur Lemonde.fr la décision de BNP Paribas de fermer ses filiales dans les îles Caïmans. Une victoire pour l’association qui se mobilise depuis plus de deux ans pour obtenir la fermeture de toutes les filiales de BNP Paribas dans ce paradis fiscal et judiciaire, véritable trou noir de l’économie mondiale.

Plus de 40 maires et autorités locales ont répondu à l’appel de la campagne espagnole Noal TTIP, des campagnes européennes et du Conseil de la ville de Barcelone. En outre plus de 200 représentant·e·s de mouvements sociaux, d’organisations environnementales, de syndicats, d’associations de taxis, de groupements d’agriculteurs, ainsi que des partis politiques et des représentants du parlement européen ont pris part à ces deux jours de rencontre. C’est la première réunion à rassembler des groupes de divers horizons avec une préoccupation unique : la défense de la démocratie locale prioritairement aux bénéfices des entreprises mondiales.

Quelle est la responsabilité de la Société générale dans l’évasion fiscale ? Plus globalement, quel rôle jouent les banques ? Et quelles sont les failles de la loi ? Débat suite à l’audition de Frédéric Oudéa le 11 mai 2016 face à la commission des Finances du Sénat, accusé par les sénateurs d’avoir menti sur la présence de la banque dans un paradis fiscal.

Des militant·e·s de Nuit debout Auxerre bloquent l’agence Société générale de la place des Cordeliers pour dénoncer l’évasion fiscale et la création par la Société générale de 979 sociétés offshore, immatriculées par le cabinet panaméen Mossack Fonseca.

À la suite de l’appel national lancé par Attac France, des militant.e.s de l’association se sont retrouvé.e.s à Lannion pour bloquer une agence Société générale, et ainsi « stopper la machine de l’évasion fiscale ».

Le 16 avril 2016, une quarantaine de militant·e·s d’Attac a fait du bruit pour dénoncer les fraudes fiscale de la Société générale faisant fermer la banque toute la journée. Cette action, au-delà d’interrompre l’activité de la banque le temps d’une journée a également été l’occasion de sensibiliser la population locale aux conséquences de la fraude fiscale sur notre quotidien.

Le 28 avril 2016, après avoir manifesté contre la Loi Travail, les militant.e.s d’Attac et de la Nuit Debout se sont mobilisés devant la Société générale afin de dénoncer la complicité des banques dans l’évasion fiscale, à l’heure où, selon eux, le projet de loi « Travail » risque d’aggraver la précarité et la pauvreté en France.

Le 20 avril 2016 à Toulouse, entre 150 et 200 citoyen·ne·s et militant·e·s ont occupé collectivement une grande agence de la BNP Paribas.

Le 20 avril 2016, plus de 70 militant·e·s et citoyen·ne·s ont organisé avec humour une action de désobéissance civile devant la Société générale de la place Victor Hugo à Grenoble.

Le 16 avril 2016, coup double pour la Société générale ! En parallèle de l’action menée le même jour à Chambéry par des militant·e·s d’Attac, et en réponse à l’Appel lancé par Attac le 7 avril 2016, des citoyen·ne·s (membres de Sauvons les riches et Nuit debout) menèrent une action de désobéissance civile devant la banque pour dénoncer l’opacité des actions de cette dernière.

Le 16 avril, rebelote mais cette fois-ci à Chambéry ! La Société générale est une fois de plus la cible des militant·e·s d’Attac qui décidèrent d’y installer leur propre paradis fiscal.

Le 15 avril 2016, les militant.e.s d’Attac frappent à nouveau la Société générale en bloquant la banque du centre-ville de Cognac, suite aux révélations des Panama Papers. C’est avec humour que l’agence fut déclarée « zone de contamination » et que les militant.e.s pulvériseraient symboliquement l’agence devant des client.e.s et un public étonné et amusé.

Le 26 avril 2016, des militant·e·s membres de la Plateforme paradis fiscaux et judiciaire, auquel appartient Attac France, ont participé à la première journée du procès d’Antoine Deltour et Edouard Perrin.

Le mardi 12 avril 2016, suite à l’appel d’Attac France d’occuper les banques privées de la Société générale, une quarantaine de manifestant.e.s ont bloqué l’agence Place de la République du Mans pour dénoncer l’opacité de celle-ci et l’évasion fiscale dévoilée par l’affaire des Panama Papers.

La 13^e session des négociations sur le TAFTA s’ouvre à New York alors que les parties refusent de s’accorder sur de nombreux enjeux. L’opacité bat son plein, dans l’espoir improbable de parvenir à un accord avant la fin de l’année. Le gouvernement français tire son épingle du jeu pour rassurer les grands groupes et au passage duper la société civile quant à « ses bonnes intentions ».

Le jeudi 21 avril, face à l’urgence climatique, le mouvement grandissant pour la justice climatique s’est engagé à ce que les lignes rouges d’un futur juste et durable ne soient jamais franchies. Ici devant le Sommet International du Pétrole, et partout où les plans climaticides s’élaborent, nous honorerons nos promesses pour faire respecter les principes de l’Accord de Paris.

Jeudi 14 avril à 8 h, une quarantaine de militants d’Attac se sont rassemblés devant la Fédération française des banques à Paris.

Ils dénonçaient la tenue d’un colloque intitulé « Ethique et conduct : pour une culture de la responsabilité » conclu par Frédéric Oudéa, directeur de la Société générale, mise en cause dans le scandale des « Panama Papers ».