À l’approche du G20 qui aura lieu les 30 novembre et 1er décembre prochain à Buenos Aires, la presse argentine s’est fait écho de la surveillance dont font l’objet un certain nombre de syndicats et organisations de la société civile de la part des services de renseignement argentins. Sont cités, entre autres, les syndicats CTA (Centrale des travailleurs d’Argentine) et CTEP (Confédération des travailleurs de l’économie populaire), et les ONG Attac Argentine, Jubilé Sud, le mouvement paysan Misiones, les Amis de la Terre et des mouvements écologistes et anti-extractivistes.