« C’est Nicolas qui paie »... et qui oublie ce dont il a profité
Superprofits, ultra-riches, méga-injustices, , par
Soutenu par les mouvements d’extrême droite, le slogan « C’est Nicolas qui paie » est censé incarner le ras-le-bol fiscal de la population. Dans la tradition anti-fiscale de la droite populiste, ce mouvement dénonce des impôts, cotisations et dépenses publiques trop élevées et une redistribution inexistante pour la « classe moyenne ».