Après les Panama Papers, les Paradise Papers,
voici les Nîmes Papers !
À quoi bon traverser l’océan Atlantique pour rejoindre le Panama et ses cabinets d’avocats ouverts 7 jours sur 7, pourquoi diable s’exiler dans des îles paradisiaques (fiscalement parlant), alors qu’il est possible de décrocher le gros lot, la timbale, le jackpot en France sans bouger les fesses de son siège.
C’est ce qu’ont bien compris, et surtout mis en pratique, les banquiers nîmois du Crédit Foncier, filiale du Groupe Banque (...)