Faut-il avoir peur de la Russie ?
Dossier : Militarisation et contrôle social, , par
En décembre 2016, le magazine Forbes faisait de Poutine l’homme de l’année. Entre l’arrivée d’un Donald Trump à la Maison blanche et la reconquête d’Alep par l’armée syrienne suite à une campagne massive et indiscriminée de l’aviation russe visant la population civile au-delà des combattants, tout semblait réussir à l’homme fort du Kremlin. Pourtant, ses succès sont moins éclatants qu’il n’y paraît et sa position moins forte que ne le pensent à la fois ceux qui le craignent et ceux qui l’admirent.