Lors de la séquence du premier vote sur la ratification du CETA en juillet à l’Assemblée nationale, le gouvernement a fait preuve d’approximation, d’omissions, voire de contre-vérités. Dans ce document, nous revenons sur dix d’entre elles, afin de les analyser, et d’en revenir aux faits.
- 1. Le CETA, c’est bon pour la croissance et l’économie françaises ?
- 2. « Tout produit interdit sur le marché européen l’est aussi à l’importation »
- 3. « Les filières agricoles ne seront pas déstabilisées par les importations canadiennes »
- 4. « Les normes européennes sont protégées » et le CETA permettrait une « harmonisation par le haut »
- 5. Le Canada serait un partenaire de confiance aux normes proches des nôtres
- 6. « L’impact du CETA sur le réchauffement climatique sera minime »
- 7. Le CETA, un levier pour forcer le Canada à respecter ses engagements climatiques ?
- 8. Le veto climatique protégerait l’intérêt général ?
- 9. Il n’y aurait plus de justice d’exception favorable aux multinationales ?
- 10. « Ne pas signer le CETA c’est fermer les frontières et nous isoler nous-mêmes »
Pour télécharger le document, cliquez ici.