Ils doivent permettre à la fois de garantir l la meilleure vie possible pour les sept milliards d’êtres humains d’aujourd’hui, en même temps, que la préservation de la planète qui autorisera les générations futures à jouir d’une vie humaine satisfaisante.
Il s’agit donc d’une construction sociale bâtie à partir de la démocratie, qui doit constituer l’armature et la substance du processus. Les BPM, ainsi définis par les citoyens, seront sans doute de plus en plus nombreux. On pense, évidemment, à la santé, l’éducation, l’environnement, l’accès à l’eau, à l’énergie, à l’alimentation, à la connaissance, mais aussi à la paix, etc. On voit mal comment l’ONU, à laquelle des réformes substantielles devront être apportées, pourrait être tenue à l’écart.
La mise en œuvre d’un tel processus exigera d’importantes ressources qu’il convient de définir et de rassembler.
Vaste utopie, diront certains. Peut-être, mais si les êtres humains ne savent pas la transformer en réalité, alors on peut craindre pour leur survie !