Le Crédit suisse, gestionnaire de fortune, en rend compte sur cette base fictive, tout comme Capgemini.
On remarquera que, lorsque le mouvement Occupy Wall Street a stigmatisé le fameux 1 %, repris notamment par J. Stiglitz, il exagérait... ils ne sont que 0,7 % d’individus à détenir 41 % de la fortune globale pendant que près de 69 % en détiennent quand même... 3 % !