La désobéissance et la dissidence apparaissent de plus en plus comme les ultimes recours face à un capitalisme qui ignore les limites de la planète, face à des banques et des multinationales prédatrices et à des gouvernements incapables de s’opposer à leur toute puissance.
En installant des « zones à défendre », en menant des actions dans des banques, en bloquant des mines et des centrales à charbon ou en occupant des places publiques, des citoyen·ne·s, militant·e·s, activistes jouent avec les frontières de la légalité pour se défendre et faire plier leurs adversaires. Elles et ils puisent dans des décennies d’actions désobéissantes pour contester, inventer, et imposer d’autres choix économiques, sociaux et écologiques.
Ce dossier propose une réflexion illustrée pour nous inspirer et nous aider à engager des actions de désobéissance et des dissidences toujours plus massives, et, surtout, victorieuses.