Dans le monde selon le Rassemblement national, les immigré·es sont responsables de tous les maux : délinquance, violences sexuelles, chômage, baisse les salaires, déficit public... Une catégorie de la population est ainsi désignée à la vindicte populaire, alors même que la responsabilité grandes entreprises et des plus riches - qui comptent parmi les nouveaux amis des dirigeant·es d’extrême-droite - est passée sous le tapis dans leurs diatribes.