Le 20 juin dernier, les membres de la Convention citoyenne pour le climat (CCC) ont voté à 99,3 % en faveur de la reconnaissance du crime d’écocide et des limites planétaires dans le droit français. Une proposition qui s’est, au cours des débats, imposée comme une des mesures phares. Pour les citoyennes et les citoyens, il s’agit “d’adopter une loi qui protège les écosystèmes de la dégradation et de la destruction, en faisant porter la responsabilité juridique financière sur les auteurs des déprédations”. Explications