Appréciant globalement le contenu de l’article, j’aimerais néanmoins apporter quelques précisions, suite à la lecture du livre lui-même (complétée par La multitude libre : Nouvelles lectures du Traité politique de Spinoza de F. Lordon), puis évoquer, sur le même thème, les réflexions que l’on peut tirer du dernier livre de Miguel Abensour, La communauté politique des tous uns.