Après 48 jours de bombardements qui ont visé l’ensemble de la population de la Bande de Gaza, et qui ont détruit plus de la moitié de ses bâtiments et de ses infrastructures, après 48 jours de siège inhumain qui a privé la population d’eau, de nourriture et de médicaments, la trêve fragile qui a commencé le 23 novembre est une lueur d’espoir.