Attac Campus Bordeau organise :
Les ateliers d’économie politique
Programme :
- Mercredi 24 octobre à 19 h : Les Classiques et l’ordre économique , par Matthieu Montalban (Université Bordeaux IV) et Vanessa Oltra (Université Bordeaux IV) ;
- Mercredi 14 novembre à 19h : Marx, les marxistes et les crises , par Matthieu Montalban (Université Bordeaux IV)
- Mercredi 12 Décembre à 19h : Les Marginalistes et le marché , par Matthieu Montalban (Université Bordeaux IV)
L’économie politique, en tant que science au service du gouvernement, s’est construite autour des débats autour de l’existence ou non d’un équilibre harmonieux et spontané, assurant la coordination des actions individuelles décentralisées, et par conséquent sur l’intérêt ou non pour l’État d’intervenir sur cet ordre spontané, et sur la question de la valeur, Ricardo la définissant pour sa part comme l’analyse des lois de la répartition de la valeur. L’objet de ces ateliers sera d’appréhender comment dans l’histoire les théories économiques ont essayé de les questions de l’équilibre/le déséquilibre/la crise et de la valeur. Tout d’abord, nous aborderons dans la séance du 24 octobre, les débats au sein des Classiques sur cette question, débat opposant les partisans de l’impossibilité de la surproduction et de la main invisible d’un côté, et du caractère probable de la surproduction de l’autre. Le 14 novembre, nous analyserons le point de vue critique de Marx et des marxistes sur la valeur et les crises. Le 12 décembre, nous évoquerons la vision optimiste et libérale des marginalistes. Enfin, en janvier ou février (date à confirmer) nous évoquerons comment la théorie keynésienne et postkeynésienne de l’équilibre de sous-emploi et leur point de vue sur la valeur.
Histoire critique de l’économie politique : l’équilibre, la crise et la valeur (Matthieu Montalban)
L’économie politique, en tant que science au service du gouvernement, s’est construite autour des débats autour de construite autour des débats autour de assurant la coordination des actions individuelles décentralisées, et par conséquent sur l’intérêt ou non pour l’État d’intervenir sur cet ordre spontané, et sur la question de la valeur, Ricardo la définissant pour sa part comme l’analyse des lois de la répartition de la valeur. L’objet de ces ateliers sera d’appréhender comment dans l’histoire les théories économiques ont essayé d’appréhender les questions de l’équilibre/le déséquilibre/la crise et de la valeur. Tout d’abord, nous aborderons dans la séance du 24 octobre, les débats au sein des Classiques sur cette question, débat opposant les partisans de l’impossibilité de la surproduction et e la main invisible d’un côté, et du caractère probable de la opposant les partisans de l’impossibilité de la surproduction et surproduction de l’autre. Le 14 novembre, nous analyserons le point de vue critique de Marx et des marxistes sur la valeur et les crises. Le 12 décembre, nous évoquerons la vision optimiste et libérale des marginalistes.