Le capitalisme intègre aujourd’hui la contrainte du bio comme il a intégré d’autres évolutions dans le passé. Ceci sans qu’une attaque politique lui oppose un tout autre projet de société et de civilisation.
Le bio est aujourd’hui confronté au défi de garder son âme, il doit constituer un projet d’évolution profonde de l’organisation agroalimentaire pour créer une économie durable, relocalisable et solidaire. Ces principes paraissent peu conciliables avec les pressions de la grande distribution, qui est dans une logique d’industrialisation de la production alimentaire.
En présence de :
• Rachid Ahaouche,commercant bio indépendant,(Bio St Hilaire Paris 5ème)
• Sébastien Moireau, Co-Fondateur et Sociétaire Actif de la coopérative supermarché Les Grains de SEL Paris 13ème
Entrée libre