Les militant.e.s ont parodié les chaises musicales renommées chaises fiscales. Chaque chaise portait un projet de transition écologique qui pourrait être financé avec l’argent évadé dans les paradis fiscaux ; « exemple : 3 milliards d’euros pour rénover toutes les voies ferrées... ».
Alors, la représentante de la finance mondiale (banques, troïka) toute de dédain et de clinquant, dénigrait alors ces projets et s’empressait de les mettre dans la grande poubelle de l’évasion fiscale... et le palmier de l’île des des paradis fiscaux s’enrichissait de pancartes affichant les noms bien connus : Caïman , Bermudes , Bahamas Luxembourg... tout cela bien sûr, sous les huées du public ravi et dont le nombre croissait au fil de l’action...
L’action s’est conclue par la débaptisation de la place THIERS qui est devenue « Place des paradis Fiscaux BNP » ... et pour la petite histoire, cette pancarte est toujours en place 2 mois après l’action !