Intervention de Youlie Yamamoto, porte-parole d’Attac, au Congrès National de Solidaires Finances Publiques le 17 octobre 2024.

Qu’on les considère comme actrices ou exécutrices des politiques impérialistes, colonialistes et capitalistes qui régissent l’ordre économique international, les multinationales, les institutions financières et les banques tissent la toile sanglante de nombreuses crises que nous vivons aujourd’hui. N’ayant de comptes à rendre qu’aux actionnaires et aux fonds d’investissement (Blackrock, Vanguard) les sociétés transnationales et ceux qui les financent ont conduit le monde au bord de (…)

Alors qu’il était prévu depuis plus d’un an, le procès des 13 activistes d’Attac et Extinction Rebellion est reporté au 23 mai 2025.

Attac s’inscrit dans cet appel initié par le réseau international Stay Grounded (Rester sur Terre).

Communiqué unitaire à l’initiative de l’espace Mobilisations internationales d’Attac.

Ce 12 octobre, Louise d’Attac a pris vie dans les rues d’Alès. Louise ? C’est ce personnage dessiné par VAP qui se balade au fil de l’histoire de l’évasion fiscale dans le dernier livre d’Attac. Elle accompagnait une marionnette géante d’ultra-riche à la rencontre des habitant·es pour leur faire savoir comment récupérer 60 milliards d’euros sans toucher aux services publics.

Le collectif Grève Féministe réunit associations féministes et généralistes de lutte pour les droits et organisations syndicales et politiques. Vous trouverez ici un appel avec les prochaines dates de mobilisation.

Le projet de budget a été dévoilé hier par le Premier ministre. C’est la même rengaine austéritaire de la droite conservatrice et libérale : le pays serait au bord de la faillite parce qu’il y aurait trop de dépenses publiques.

Ce jeudi 17 octobre, 13 activistes d’Extinction Rebellion et d’Attac sont convoqué·es au tribunal de Bobigny à 13h suite à une action menée contre les jets privés sur l’aéroport du Bourget en 2023.

Dans le cadre du projet de loi de finance, Éric Coquerel, président de la commission des finances, a invité les organisations qui produisent une expertise sur les questions de fiscalité à contribuer aux débats et amendements qui auront lieu sur le mois de novembre à l’Assemblée nationale.

Lorsqu’on parle de justice fiscale, sociale et environnementale, il y a des luttes qui cochent toutes les cases. Celle contre les jets privés en est un très bon exemple.

Communiqué commun à l’initiative de la LDH, publié le 1^er octobre 2024.

Accord UE-Mercosur : Pourquoi les négociations reprennent-elles ? La France n’a-t-elle pas bloqué cet accord ? Avec quel mandat la Commission UE négocie-t-elle ? Analyse et revendications.

Après avoir déclaré qu’il ne s’interdirait pas un peu de justice fiscale, Michel Barnier a rapidement rassuré les grands gagnants des politiques fiscales de ces dernières années, inquiets d’être mis à contribution. Il n’y aura pas de choc fiscal, tout juste des mesures temporaires qui sont loin de revenir sur les baisses d’impôt antérieures. Le projet de loi de finances prend les allures d’un zeste de justice fiscale pour un temps limité contre une cure d’austérité aux effets nocifs durables.

L’attaque récente menée par l’État d’Israël contre le Liban, qui a fait près de 900 morts, des milliers de blessés avec des bombardements de bâtiments jusque dans le centre de Beyrouth et 1 million d’habitants déplacés depuis le 23 septembre, a rappelé au monde que la logique de la guerre à outrance est la seule qui prévaut aujourd’hui pour l’État d’Israël et ses dirigeants.

Et pendant que le monde a les yeux tournés vers le Liban, Israël continue sa guerre génocidaire contre le peuple palestinien.

Témoignage unique et poignant sur les missions de sauvetage en Méditerranée centrale à bord de l’Ocean Viking, le navire humanitaire de SOS Méditerranée. 

Enquête sur l’ouverture d’une mine de lithium dans le Massif Central : espoir économique ou menace environnementale ? Dans le petit village d’Échassières, le débat est ouvert.

Un nouveau soulèvement contre la pwofitasyon (exploitation outrancière capitaliste et coloniale) et contre la vie chère a été lancée par le RPPRAC (Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens) depuis le 1^er septembre en Martinique. Ce mouvement se propage désormais en Guadeloupe et en Guyane.
Il trouve aussi un écho dans l’Hexagone où les diasporas et ses descendant·es ultra marin·es se mobilisent par solidarité et soutien.

Une réflexion sur la condition féminine et ouvrière au sein d’une société capitaliste.

D’Alès à Rouen en passant par la Gironde, les militant·es se mobilisent le week-end des 12 et 13 octobre pour plus de justice fiscale, sociale et écologique. On fait le point sur les différents rendez-vous organisée·es et/ou soutenu par Attac.

Communiqué de l’Alliance Écologique et Sociale du 1^er octobre 2024.

Pour la démocratie, la justice sociale et fiscale, les services publics, l’écologie et un vrai plan de lutte contre les discriminations, le 1^er octobre, reprenons la rue contre la politique Macron/Barnier !

La question se pose, bien sûr, et plus que jamais au vu de l’énorme accumulation de problèmes, dont beaucoup semblent difficilement surmontables. Commençons par les dégâts environnementaux qui affectent le monde actuel avec une croissance exponentielle. Le changement climatique ne cesse de s’aggraver. Les températures planétaires sont déjà supérieures de 1,5 degré à celles de l’ère préindustrielle et leur hausse s’accélère avec des conséquences dévastatrices, entraînant une augmentation très nette des phénomènes catastrophiques et stimulant en même temps le développement des épidémies. L’épisode de la Covid-19, première pandémie planétaire depuis la grippe dite espagnole de 1918, a signalé le début du nouvel âge pandémique contre lequel les biologues n’ont cessé de mettre en garde.

Les grandes sociétés du numérique occupent aujourd’hui les premières places mondiales en termes de capitalisation boursière. Aux États-Unis, Google (Alphabet), Apple, Facebook (Meta), Amazon et Microsoft sont des multinationales qui coordonnent des maillons de chaînes de valeur dispersées dans le monde entier à l’aide de réseaux et d’algorithmes. C’est le cas également de leurs concurrents chinois Baidu, Alibaba, Tencent et Xaomi (BATX) qui collectent massivement les flux de données numérisées en les transportant par les réseaux de télécommunication et en les traitant à l’aide de micro-processeurs. Ces sociétés de capitaux sont des plateformes, c’est-à-dire des infrastructures numériques ou ensembles d’ordinateurs connectés en réseaux et gouvernés par des algorithmes. La maîtrise des flux de données numérisées est à l’origine des profits considérables des sociétés, mais contribue également au pouvoir militaire grandissant des États.

Il est devenu, un peu partout, banal de railler le terme de « Sud global » dont on dénonce couramment le flou, l’incohérence, voire la tonalité polémique évoquant le « tiers-mondisme » d’antan. On se plaît à moquer l’idée que la Chine et la Gambie, l’Inde et les iles Tonga, le Brésil et le Lesotho relèveraient de la même catégorie.
La critique a bien sûr sa part de fondement, mais elle est surtout recevable dans une approche objectiviste et positiviste des relations internationales. Il est en effet évident que les pays qu’on classe dans cette vaste catégorie ne partagent aucun des traits objectifs qui sont utilisés dans les taxinomies les plus courantes, qu’elles soient de nature économique, institutionnelle, culturelle ou même géographique : l’Australie est au Sud mais relève du Nord, la Mongolie est du Nord mais relève du Sud !

Bien qu’ayant échoué à remporter les élections législatives, il n’en reste pas moins que la progression du RN est importante. Face à lui, le front républicain est-il en mesure de lui faire barrage durablement ?
Les résultats des législatives sont l’aboutissement de transformations de long cours du paysage politique français, avec en particulier la tripartition de l’offre politique, opposant un bloc de gauche, un blog de droite et un bloc d’extrême droite. Le RN continue de progresser, ici en nombre de sièges, mais se heurte à un « vote barrage » au second tour, ce qui est un grand classique dans l’histoire de ce parti. Néanmoins, avec 143 sièges, le RN va néanmoins bénéficier d’une manne financière importante et d’un nombre encore supérieur de collaborateurs parlementaires, ce qui va aider à sa professionnalisation. Le barrage résiste, mais en face le niveau continue de monter.

La balance des paiements retrace l’ensemble des transactions entre les résidents d’une économie et les non-résidents au cours d’une période donnée avec plusieurs catégories de flux :

• les transactions courantes portant sur les biens (la balance commerciale), les services (transports, voyage, communication, assurance, services financiers, culturels…), les revenus (salaires, profits…)
• les achats ou ventes d’actifs non financiers comme les brevets (inscription au compte de capital)
• au compte financier, les investissements directs, les investissements de portefeuille (actions, obligations, etc.), les produits financiers dits dérivés car leur valeur dépend de celle d’un actif sous-jacent (action, devise étrangère, matières premières…), les avoirs de réserve.

L’économiste Claude Serfati a publié au printemps Un monde en guerres (Paris, Textuel, Collection Petite encyclopédie critique, 2024), dans lequel il synthétise de très nombreux travaux antérieurs mais qu’il éclaire par les derniers bouleversements économiques et géopolitiques que le monde a traversés depuis ce qu’il appelle « le moment 2008 ». Celui-ci marque « une remarquable concordance de temporalités entre des dynamiques qui ont chacune leur rythme propre. Le "moment 2008" agrège un état de l’économie mondiale qui est qualifié de "longue dépression", des rivalités géopolitiques et une concurrence économique qui s’entrelacent étroitement, et l’accélération de la guerre à la nature ».

L’Acte unique de 1986 marque un tournant dans l’histoire de la construction européenne. Complété par les traités de Maastricht et d’Amsterdam, il transforme l’Union européenne en un espace privilégié de promotion des politiques néolibérales : politique industrielle déterminée par l’application du droit de la concurrence, gestion de la monnaie sortie du champ de la décision politique, concurrence fiscale entre les États, services publics remis en cause au nom de la concurrence, démantèlement progressif des mécanismes régulateurs des marchés agricoles, dumping social, budget européen réduit à une portion congrue, etc. Le droit de la concurrence, inscrit au cœur des traités, devient le droit à partir duquel les élites néolibérales, hégémoniques au sein des institutions nationales et européennes, façonnent l’Union. C’est un droit normatif, véritable droit « constitutionnel » avant la lettre qui réduit la plupart du temps les autres textes européens à des déclarations d’intention sans portée opérationnelle pratique.

Le quarantième numéro de la revue trimestrielle Les Possibles, éditée à l’initiative du Conseil scientifique d’Attac, est disponible. Retrouvez ci-dessous le sommaire de ce numéro et inscrivez-vous pour recevoir la revue.

L’ouvrage de l’historien et géographe canadien d’origine tchèque, Vaclav Smil1, est centré sur son domaine principal de recherche et objet de multiples publications : l’énergie, sous toutes ses formes, et, derrière, les innovations technologiques qui ont révolutionné le monde dans différentes phases de son histoire. Il traque l’ignorance répandue dans le grand public qui n’a pas « besoin » de comprendre comment fonctionnent les iphones ou les avions pour les utiliser ; mais aussi l’ignorance de maints « experts » de l’environnement.

Dans la nuit du mardi au mercredi 15 mai 2024, l’Assemblée nationale a approuvé une révision constitutionnelle élargissant le vote en Nouvelle-Calédonie, remettant ainsi en question les accords de Nouméa, conçus pour une décolonisation progressive de l’archipel. Cette révision, rejetée par la société civile Kanak, a provoqué une insurrection, la mort de plusieurs personnes (dont une majorité de Kanak) et une escalade militaire de la part de la France. Avec la dissolution du Parlement actée par le Président Macron le 9 juin dernier, le projet de révision est pour le moment abandonné.

Après sa création en 2000, Attac Allemagne a été, avec Attac France, pendant près d’une décennie l’une des forces les plus importantes de la famille internationale d’Attac. Pendant cette période, l’organisation était à la tête d’un bloc anti-néolibéral qui était hégémonique dans la gauche allemande et perçu dans la société comme un contrepoids au néolibéralisme dominant. Elle a donné des impulsions novatrices et initié des mobilisations qui ont pu faire descendre dans la rue des centaines de milliers de personnes. Les grands médias étaient obligés de prendre compte sa critique du capitalisme financier, de la politique commerciale néolibérale et de ses conséquences sociales et politiques.

Daria Saburova nous propose dans Travailleuses de la résistance, Les classes populaires ukrainiennes face à la guerre une passionnante enquête de terrain en temps de guerre déployée pendant trois mois dans la cité minière de Krivih Rih. Elle se centre sur le « travail de résistance » bénévole des femmes des classes populaires de cette ville. C’est une enquête « située » : elle rompt avec les approches « géo-politiques » qui dominent une partie de la gauche ignorant la société ukrainienne agressée et résistante.

« Longue dépression » selon l’économiste marxiste britannique Michael Roberts, « polycrise » selon l’historien économique américain Adam Tooze… tels sont quelques uns des termes utilisés pour caractériser la phase actuelle du capitalisme. « La polycrise » a un mérite : celui de renvoyer à une situation où plusieurs crises, actuelles ou potentielles, interagissent. « Une polycrise n’est pas seulement une situation où l’on est confronté à des crises multiples. Il s’agit d’une situation […] où le tout est encore plus dangereux que la somme des parties. ».

Les interrogations et défis auxquels fait face l’altermondialisme, dès sa naissance, renvoient à la nature de cette mouvance : lieu de convergence de luttes sociopolitiques et de courants de pensée critique de la gauche groggy des années 1990. Le dénominateur commun est la critique du néolibéralisme et de la mondialisation « heureuse » que célèbre la « nouvelle vulgate planétaire ».
Près d’un quart de siècle après la célébration du premier Forum social mondial (FSM) à Porto Alegre, alors que les contradictions du capitalisme s’aiguisent tant sur plan social qu’écologique et qu´éclatent des déflagrations guerrières, qu’en est-il de l’altermondialisme ?

27 septembre 2019. Les rues de Montréal sont envahies par une foule de 500 000 personnes, la plus importante manifestation dans l’histoire de notre pays. On demande aux gouvernements d’agir plus efficacement pour contrer le réchauffement climatique. La présence de Greta Thunberg, la jeune égérie de la lutte pour le climat, vient fouetter les troupes et contribue à publiciser l’événement. Mais c’est aussi à cause de la force du mouvement environnementaliste au Québec que Greta Thunberg a choisi d’être présente à Montréal, ce jour-là, plutôt qu’ailleurs dans le monde, où avaient lieu de nombreuses marches du même type. Ici, plusieurs autres manifestations avaient précédé ce grand événement et des revendications s’étaient fait entendre publiquement, dont quelques propositions étoffées sur la façon d’entreprendre la transition socioécologique.

Dans les années 2000, des dizaines de milliers de militant·e·s du monde entier se retrouvaient à Porto Alegre, Mumbaï ou Belem, parmi ceux-ci près de trois mille venaient de France… Lors du dernier forum social mondial, en février 2024 à Katmandou, au Népal, on ne comptait que quelques dizaines de Français dans un forum qui a été un succès, mais uniquement par la présence nombreuse de Népalais·e·s et de militant·e·s du sous-continent indien. Il est donc temps de faire un premier bilan et d’essayer de comprendre ce qui a changé dans le contexte actuel et ce que pourraient être les priorités d’action pour les années qui viennent, pour Attac comme pour les mouvements sociaux du monde entier.

Les régimes démocratiques reposent sur une logique parlementaire qui permet, normalement, au parti (ou à la coalition) qui a remporté le plus grand nombre de suffrages d’exercer le pouvoir d’État. C’est ce qui explique la bipolarisation du jeu politique entre une majorité et une minorité, centrée en France autour du clivage droite/gauche. Dans ce type de régime, le choix des sujets qui sont mis au centre du débat public (ce qu’on nomme en sciences politiques « la mise à l’agenda ») est d’une importance capitale. Les souffrances humaines, les injustices, les inégalités peuvent alimenter une infinité de causes qui mériteraient d’être défendues publiquement. Mais seul un petit nombre d’entre elles font l’objet d’une politisation. Et c’est le rapport de forces entre ceux que j’appelle les « professionnels de la parole publique » qui explique comment s’opère la sélection des bonnes causes à tel ou tel moment.

Si les mouvements altermondialistes sont aujourd’hui en difficulté, voire en crise, on assiste dans le même temps à une montée en puissance des mouvements féministes, un peu partout dans le monde. Revenir sur les péripéties de l’intégration de la dimension féministe dans l’histoire de l’altermondialisme peut permettre d’apporter un éclairage sur certaines de ses limites constitutives.

Adresse Attac, 5 villa de la Tourelle, 93100 Montreuil
Directeur de la publication Jean-Marie Harribey
Secrétariat de la rédaction Isabelle Bourboulon, Edgard Deffaud, Serge Gardien, Jean-Marie Harribey, Esther Jeffers, Éric Le Gall, Christiane Marty, Pascal Paquin, Dominique Plihon, Ophélie Gath
Responsables techniques Edgard Deffaud, Serge Gardien, Éric Le Gall, Pascal Paquin, Rémi Sergé
Comité éditorial Sylvie Agard, Christophe Aguiton, Verveine Angeli, Paul Ariès, Geneviève Azam, (…)

Nous sommes trop près de l’évènement pour prendre l’exacte mesure de la séquence socio-politique que nous traversons. Les historiens sauront sans doute plus tard mieux en décoder les tenants et les aboutissants. Une chose cependant semble se confirmer d’ores et déjà.
Toutes les institutions de la société, toutes les classes sociales, tous les acteurs sociaux et politiques, les gouvernants comme les communicants, sont en panne de stratégie, c’est-à-dire ne savent comment sortir d’une crise globale, dont tout le monde s’accorde pour la dire multidimensionnelle, mais dont personne n’en dégage vraiment la trame. Ici, ni plus ni moins qu’ailleurs ; donnons-en seulement quelques éléments dans ce numéro des Possibles qui tombe à un moment particulier de la période.

L’association Attac était auditionnée ce mercredi 25 septembre l’Assemblée nationale sur la question de la lutte contre l’évasion fiscale. Insistant sur la nécessité de faire de ce sujet une priorité et de faire œuvre de pédagogie pour démontrer ses méfaits, nous sommes revenus sur l’évolution de l’évasion fiscale, son ampleur, le bilan des mesures prises au cours des dernières années.

L’AFPS, Attac et la campagne BDS France, lancent aujourd’hui la campagne « Banque Complice » appelant BNP Paribas à cesser sa complicité dans le financement du génocide et de la colonisation illégale de la Palestine. Des actions d’interpellation seront organisées partout sur le territoire pendant les prochaines semaines.

Le 28 septembre, journée internationale pour le droit à l’avortement, nous afficherons haut et fort notre solidarité avec toutes les femmes du monde et en particulier celles des pays où est interdit totalement ou partiellement le droit à l’avortement !

En deux jours, le 17 et 18 septembre, les explosions de bipeurs et de talkie-walkie piégés ont fait des dizaines de morts, des milliers de blessés. Les raids aériens israéliens qui ont suivi ont prolongé le massacre. Et pourtant, ces attaques terroristes n’ont pas suscité une condamnation et des sanctions mais plutôt, au moins les premiers jours... une admiration de l’ingéniosité israélienne.

Si Michel Barnier parle d’augmenter les impôts des riches pour laisser tranquilles les moins aisés, les mesures envisagées ressortent plus de la communication que d’une recherche d’une réelle fiscalité redistributive.