Votez pour les Prix Pinocchio 2013 : Désignez les pires entreprises de l’année !

vendredi 8 novembre 2013, par Les Amis de la Terre

Les prix Pinocchio du développement durable dénoncent les impacts négatifs de certaines entreprises : celles qui agissent en contradiction totale avec le concept de développement durable qu’elles utilisent pourtant abondamment dans leur communication.

Afin de démasquer ce décalage entre les "beaux discours" et la réalité des actes, Les Amis de la Terre , en partenariat avec le  Crid et Peuples Solidaires - ActionAid France , décernent chaque année trois Prix Pinocchio. Une référence, bien entendu, à la fameuse marionnette et à sa conception très personnelle de la vérité…

Votez maintenant !

Trois prix, neuf nominés

Catégorie « Plus vert que vert » :

Prix décerné à l’entreprise ayant mené la campagne de communication la plus abusive et trompeuse au regard de ses activités réelles.

Les entreprises aiment surfer sur la vague du développement durable pour légitimer leurs activités. Mais la réalité est souvent bien moins verte !

  • Areva et son musée de la mine
  • Air France et la compensation carbone
  • BNP Paribas et le climat

Catégorie « Mains sales, poches pleines »

Prix décerné à l’entreprise ayant mené la politique la plus opaque au niveau financier (corruption, évasion fiscale, etc.), en termes de lobbying, ou dans sa chaîne d’approvisionnement.

Certaines entreprises déploient des trésors d’imagination pour affaiblir ou contourner les normes environnementales et sociales existantes. Leur objectif ? Toujours plus de profit bien sûr, au détriment de l’environnement et des droits humains.

  • Auchan et les usines textiles du Bangladesh
  • Apple et l’extraction de l’étain en Indonésie
  • Alstom  et les grands barrages du Brésil

Catégorie « Une pour tous, tout pour moi »

Prix décerné à l’entreprise ayant mené la politique la plus agressive en terme d’appropriation, de surexploitation ou de destruction des ressources naturelles.

1 planète/7 milliards d’êtres humains, l’équation paraît simple. Pourtant certaines entreprises s’approprient une part excessive du gâteau, et dévorent celle des autres. Leur but ? Gaver une minorité au détriment du plus grand nombre.

  • Total et les gaz de schiste en Argentine
  • Veolia et la privatisation de l’eau en Inde
  • Société générale et le charbon australien

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