Vingt-deuxième numéro des Possibles, la revue éditée à l’initiative du Conseil scientifique d’Attac

lundi 20 janvier 2020, par Le Conseil scientifique d’Attac France

Le vingt-deuxième numéro de la revue trimestrielle Les Possibles, éditée à l’initiative du Conseil scientifique d’Attac, est disponible. Retrouvez ci-dessous le sommaire de ce numéro et inscrivez-vous pour recevoir la revue

Retrouvez le sommaire de ce vingt-deuxième numéro.

Les précédents numéro sont disponibles en ligne Numéro 1 ; Numéro 2 ; Numéro 3 ; Numéro 4 ; Numéro 5 ; Numéro 6 ; Numéro 7 ; Numéro 8 ; Numéro 9 ; Numéro 10, Numéro 11, Numéro 12, Numéro 13, Numéro 14 ; Numéro 15 ; Numéro 16 ; Numéro 17 ; Numéro 18 ; Numéro 19 ; Numéro 20 ; Numéro 21.

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Éditorial : Il n’y aura pas de plan B (Isabelle Bourboulon, Jean-Marie Harribey, Jean Tosti)

Surtout, ne croyons pas que le Covid-19 nous soit tombé dessus sans crier gare. Les conditions de sa prolifération et de sa propagation mondiale étaient réunies. Et nous le savions. La mondialisation capitaliste avait fait son œuvre. La circulation sans entraves du capital à la recherche du meilleur profit et le plus rapide avait aboli les frontières pour les marchandises et fait exploser les transports. La division du travail exacerbée avait fragmenté les « chaînes de valeur » au point de faire perdre toute autonomie aux économies locales et nationales. Il n’est donc pas étonnant que les nouvelles « routes de la soie » pas seulement chinoises, qui sillonnent dans tous les sens les mers et les territoires, soient devenues les canaux de transmission de toutes les merdes du monde : non seulement des virus mais aussi de la camelote dont une bonne partie ne répond à aucun besoin vital et seulement à l’exigence de valorisation du capital.

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Dossier : la planification pour la transition sociale et écologique

Coronavirus : Une révolution écologique et sociale pour construire le monde d’après (Attac-France)

Nous ne voulons pas d’un retour à leur normalité, car la normalité néolibérale et productiviste est le problème.
C’est ce que nous essayons de démontrer dans cette note en proposant des solutions pour répondre à l’urgence sanitaire de manière efficace et juste tout en esquissant, dès maintenant, la révolution écologique et sociale qui devra être mise en œuvre pour permettre aux peuples de reprendre le contrôle sur leurs vies et sur leur avenir.

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Le marché : Un impensé paradoxal de la gauche de transformation sociale (Alain Beitone)

Nous reproduisons ici cet article d’Alain Beitone (1950-2019), décédé à la fin de l’année dernière, avec l’autorisation de la revue Économie politique, dans laquelle il était paru en septembre-octobre 2017 (n° 758-759). C’est l’occasion de rendre hommage au talent pédagogique et à la rigueur de pensée de ce professeur de sciences économiques et sociales, qui avait collaboré à plusieurs reprises à notre revue Les Possibles.

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Socialisme, marchés, autogestion : un état du débat (Thomas Coutrot)

Dans cet article, Thomas Coutrot revient sur les modèles de socialisme et tente d’en faire un état de l’art. Il les discute et estime que la voie autogestionnaire est la plus conséquente.
Marx n’a pas laissé le mode d’emploi de la société de producteurs librement associés qu’il envisageait comme futur de l’humanité. D’une certaine façon, le modèle de la planification centralisée soviétique ne découle pas plus directement de Marx que celui du capitalisme monopoliste de Smith : c’est l’évolution des faits économiques et des stratégies politiques qui a façonné à la fois ces régimes économiques et les théories qui ont accompagné leur développement. Depuis longtemps, des auteurs marxistes ont contesté que le modèle soviétique soit la seule, la meilleure, ou même une manière de réaliser l’idéal socialiste. Le débat entre partisans et adversaires du socialisme, mais aussi entre marxistes, s’est focalisé tout au long du XXe siècle sur l’opposition entre plan et marché. Alors que les adversaires du socialisme condamnaient celui-ci à l’inefficacité parce qu’il supprimait le marché, certains de ses défenseurs ont repris le flambeau du marché pour montrer qu’on pouvait le mettre au service du socialisme.

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Questions sur la planification (Pierre Khalfa)

La question de la planification fait son retour dans le débat public à gauche. Ce numéro des Possibles en est une illustration, la revue Actuel Marx y a consacré récemment un numéro indispensable et l’idée de planification écologique est présente dans certains programmes politiques. Le renouveau des débats sur ce sujet est le bienvenu, alors même que le fondamentalisme néolibéral vise à imposer toujours plus son hégémonie, malgré le fait que la régulation spontanée des marchés vers un équilibre optimal soit une pure vue de l’esprit. Cependant cette nouvelle jeunesse ne doit pas se faire sur le mode d’une réhabilitation acritique. Il faut non seulement analyser sans concession les expériences du passé, mais aussi en tirer des leçons pour le présent. Dans cette perspective, cet article est plus porteur d’un certain nombre d’interrogations que de réponses assurées.

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Planification et transition écologique et sociale (Michaël Löwy)

La nécessité de la planification économique dans tout processus sérieux et radical de transition socio-écologique est de plus en plus admise, en contraste avec les positions traditionnelles des partis Verts, favorables à une variante écologique de l’« économie de marché », c’est-à dire-un « capitalisme vert ».

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Cycle financier et crise systémique, Le choix démocratique d’une planification écologique (François Morin)

Au moment où nous écrivons ces lignes, la grave crise sanitaire qui se développe un peu partout dans le monde n’a malheureusement pas encore été contenue. La contamination des populations touchées par le virus se poursuit avec son cortège de cas graves et de décès. La priorité politique et sociale pour nos gouvernants reste bien évidemment le combat contre cette pandémie.
En raison des mesures de confinement plus ou moins sévères prises ici ou là, d’abord en Chine en janvier dernier, puis dans un nombre croissant de pays en février, les bourses du monde entier ont commencé à chuter sévèrement à partir du 24 février dernier. Cette baisse s’est transformée en quelques jours en véritable bourrasque financière. Il est malheureusement à prévoir que ce krach ne touchant pour l’instant que les seules bourses-actions aura des conséquences considérables pour l’économie mondiale durant les prochains mois.

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Planification de l’agriculture (Marc Dufumier)

Dans les années 1960-1970, à l’époque où les agricultures de l’Union soviétique et des pays de l’Europe de l’Est, soumises à une planification centralisée et bureaucratique, ne parvenaient toujours pas à satisfaire les besoins alimentaires des populations concernées, la politique agricole commune (PAC) menée au sein de la Communauté économique européenne (CEE) se révélait être d’une redoutable efficacité. Loin d’être libérale, cette politique visait à fixer des « prix de soutien » uniques au sein du marché commun pour un certain nombre de produits vivriers considérés comme stratégiques et dont l’Europe était encore globalement déficitaire : les céréales, le sucre, les produits laitiers, les viandes, etc. Ces prix étaient fixés chaque année à Bruxelles, en ECU (European Currency Unit), par le conseil des ministres européens de l’agriculture, à l’issue de laborieuses négociations au cours desquelles les points de vue nationaux s’affrontaient déjà très vivement.

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La planification écologique : une approche institutionnaliste (Plihon Dominique )

Nos sociétés sont mal préparées à la transition écologique et sociale parce qu’elles souffrent d’un double handicap : d’une part, un problème d’incohérence temporelle, entre l’horizon de long terme de la transition, et l’horizon court de la plupart des acteurs économiques et politiques ; et d’autre part, un problème de déficit démocratique qui nuit à la mobilisation de la société.

Notre hypothèse est que des institutions démocratiques de long terme sont nécessaires pour mener à bien la transition écologique et sociale. La planification écologique et démocratique peut contribuer à jouer ce rôle. Cette note tente de définir les contours de cette planification en s’appuyant notamment sur les expériences passées et récentes.

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Une « fiscalité verte » pour la transition écologique ? (Fabien Tarrit)

Le postulat de neutralité de l’État fait depuis bien longtemps partie de l’appareil idéologique de justification du capitalisme. Selon lui, tout dépend des personnes qui sont à sa tête. Si la politique est de bonne qualité, l’État peut éviter les crises et corriger les « inégalités » de revenu. Pour cela, il suffit que les électeurs votent pour les partis appropriés. À défaut, même si les électeurs se sont trompés, il suffit que le gouvernement écoute les « corps intermédiaires ».

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Le « Green New Deal » aux États-Unis et en Europe (Jean Gadrey)

Depuis une dizaine d’années, le New Deal de Roosevelt est redevenu une référence pour une partie des forces de gauche. Au point d’avoir inspiré directement en France la création, en 2013, d’un parti politique, « Nouvelle Donne », faisant suite sans le supprimer à un « collectif Roosevelt » fondé en 2012 par Stéphane Hessel, Edgar Morin, Susan George, Cynthia Fleury et Pierre Larrouturou, entre autres. Ce dernier collectif a décidé de se dissoudre en 2018.

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Entretien avec Dominique Bourg (Dominique Bourg)

1. Le réchauffement climatique, l’épuisement des ressources, la perte colossale de biodiversité et les pollutions de l’eau, de l’air et des sols sont maintenant avérés, et ces problèmes continuent de s’aggraver. Au point de remettre dans le débat public une question que l’on avait cru définitivement abandonnée : la logique du capitalisme est en cause. Et cela d’autant que crise sociale et crise écologique se conjuguent. Vous venez de publier Le marché contre l’humanité. Quelle différence faites-vous entre capitalisme et marché, ou bien considérez-vous qu’il s’agit d’un même concept et d’une même réalité ?

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Une protection sociale et un système de retraites soutenables écologiquement (Jean-Marie Harribey, Pierre Khalfa)

Dès le début des années 1990, la question des retraites commence à faire la une de l’actualité. Le top départ est donné en 1991 par la publication d’un livre blanc rédigé sous l’égide de Michel Rocard, alors premier ministre. S’appuyant sur des projections démographiques catastrophistes, sur lesquelles l’Insee reviendra en 2007, il visait à préparer l’opinion à des mesures que son gouvernement n’aura pas le temps de prendre. Elles le seront par celui d’Édouard Balladur à l’été 1993. C’est la première vague de « réformes » paramétriques qui, au prétexte de sauver le régime par répartition, vise à baisser le niveau des pensions et à faire travailler les salariés plus longtemps.

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Faut-il viser un système économique postcapitaliste ? (Patrice Grevet)

Ce texte comporte une proposition principale : une bataille culturelle de masse en longue durée est nécessaire ; elle devrait viser, entre autres changements, un système postcapitaliste pour sortir des profondes difficultés politiques, économiques, sociales, écologiques, qui affectent notre pays et pour que celui-ci puisse participer à des recherches d’issue mondiale à ces mêmes difficultés. La visée de ce système alternatif inclut la fin des concours de la France à la catastrophe écologique en cours et, face aux développements déjà très probables de celle-ci, les moyens pour les gens de notre pays de se protéger collectivement, de s’adapter, de réparer du mieux – ou du moins mal – possible. Elle va dans le sens de coopérations internationales échangeant avec les autres pays sur ces moyens, de pair avec les actions cherchant à enrayer à la racine la catastrophe écologique.

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Reforestation et changement d’agriculture, des clefs pour la rupture (Daniel Hofnung)

Les plantes représentent la part essentielle de la biosphère. Elles en formeraient 82 % de la masse, mesurée en tonnes de carbone. Les bactéries, archées+protistes en représenteraient respectivement 13 % et 2 %, les champignons 2 %.

C’est pourtant elles, qui avant que l’homme ne vienne tout perturber, avaient créé, puis maintenu, l’état de notre planète.

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Pas de planification sociale et écologique sans éviction des actionnaires (Benoît Borrits)

Les urgences sociales et écologiques de nos sociétés imposent le recours de plus en plus fort à la délibération démocratique pour coordonner nos activités et domestiquer les relations marchandes. Mais est-ce sincèrement envisageable dans une économie dominée par les sociétés de capitaux, ces sociétés où la finalité est de faire toujours plus d’argent avec de l’argent ?

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Débats

Réforme de l’assurance chômage 2019 : Les personnes les plus précaires, dont les femmes, sont ciblées (Odile Merckling)

La réforme de l’assurance-chômage programmée dès l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron devait permettre, en contrepartie d’une flexibilisation de l’emploi accrue, « d’universaliser le régime » et de limiter le recours aux contrats de courte durée. Or, la loi Pénicaud du 5 septembre 2018 et les décrets consécutifs n’ont fait en réalité qu’aggraver la situation. Ces décrets entraînent en effet un durcissement des contrôles et des sanctions envers les demandeurs et les demandeuses d’emploi (DE), un abaissement des droits à indemnisation - déjà très insuffisants - et une remise en cause de la négociation collective.

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Hommage au professeur Samir Amin (Jacques Berthelot)

Samir Amin a balisé les réponses à la crise multidimensionnelle du système mondial. Samir a toujours souligné qu’« être marxiste, c’est pour moi poursuivre l’œuvre amorcée seulement par Marx, quand bien même cette amorce ait-elle été d’une puissance inégalée. Ce n’est pas s’arrêter à Marx, c’est partir de lui ». Samir attendrait que ce symposium aille plus loin que ses analyses pour changer le paradigme dominant du capitalisme qui met l’argent, l’individualisme et le pouvoir au centre de ses objectifs, d’où son impérialisme destructeur en Afrique.

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« Où voit-on aujourd’hui le pouvoir du peuple ? » (Patrick Braibant)

La première partie de cet article présente de la définition « canonique » castoriadienne de la démocratie en termes de régime et à l’examen de ses difficultés. Difficultés tenant à l’absence de prise en compte de la nécessaire dimension instituante de la démocratie, condition de sa dimension instituée. La seconde partie est consacrée au repérage et au commentaire de passages de son œuvre, où Castoriadis ébauche de fait une contre-définition prenant pleinement en compte cette dimension instituante, mettant ainsi en lumière le lien direct qui unit démocratie et transformation sociale.

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Répression, expulsion et dépossession dans la Grèce de la Nouvelle Démocratie (Theodoros Karyotis )

La dernière attaque contre le mouvement des squats en Grèce est le préambule d’une opération massive de dépossession des logements par le gouvernement de droite. Dimitris Indares était encore en pyjama lorsque la police a frappé à sa porte dans le quartier de Koukaki, à Athènes, aux premières heures du mercredi 18 décembre. Peu de temps après, il était allongé sur le sol de la terrasse de sa maison, avec une botte de policier des opérations spéciales sur la tête. Lui et ses deux fils adultes ont été battus, menottés, les yeux bandés et placés en garde à vue. Quel était le crime d’Indares ? Il avait refusé de laisser la police passer chez lui sans mandat dans le cadre de son opération d’expulsion du squat qui se trouvait juste à côté.

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À propos de Les langues-cultures moteurs de démocratie et de développement (Samy Johsua)

Cet ouvrage est à l’actif d’une équipe internationale et interdisciplinaire constituée de linguistes et d’anthropologues, avec la participation de la Délégation de la langue française et des langues de France/DGLFLF (Ministère de la Culture). Les auteur.e.s, des universitaires et formateurs/trices, sont de différentes origines et nationalités : arménienne, belge, brésilienne, française, italienne, ivoirienne, marocaine, suisse, togolaise, yéménite.

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La domination de la cité-Etat (Ilaria Agostini)

Aujourd’hui, Megalopolis est interprété comme un instrument de domination territoriale. Nous l’avons démontré dans la 2e partie de notre critique. Sa représentation est écartelée entre la bonne et la mauvaise ville, entre la ville de la perdition et la ville du salut. C’est une eschatologie, une réflexion sur le destin ultime de la vie agrégée sur la planète Terre. Comme une Jérusalem céleste actualisée, Megalopolis veut être la seule et dernière voie de salut face aux « menaces » que représente la question environnementale.

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Un président peu légitime, sourd et violent parle de démocratie (Commission Démocratie d’attac)

« Nous sommes une démocratie. Et une démocratie, c’est un système politique où l’on choisit nos dirigeants. C’est un système politique où l’on choisit les représentants qui auront à voter librement les lois qui régissent la société. […] Ça veut dire que la liberté du peuple et sa souveraineté sont reconnues. […] »

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Revue des revues

Revue des revues (Jacques Cossart)

Après le dossier et le séminaire portant sur les banques centrales, la revue Les Possibles consacre son numéro 23 à examiner ce qu’une planification pourrait apporter au combat pour répondre aux urgences sociales et écologiques. Virgile prétendait que la fortune souriait aux audacieux – audaces fortuna juvat –, cette audace pourrait-elle, deux millénaires plus tard, s’appliquer aux institutions financières, seraient-elles susceptibles d’emporter la conviction du plus grand nombre, pour stopper les dérives environnementales ?

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À l’attention des lecteurs, note sur le statut de la revue Les Possibles

La revue Les Possibles a maintenant quatre ans d’âge et sa diffusion progresse régulièrement. Nous rappelons qu’elle fut créée à l’initiative du Conseil scientifique d’Attac pour être un lieu de débat théorique sur la nécessaire transformation de la société, aujourd’hui minée par le capitalisme néolibéral. Dès lors, ouverte à toutes les personnes qui s’inscrivent dans cette perspective, elle est indépendante de l’association Attac, le contenu des articles est de la responsabilité de leurs auteurs et n’engage pas l’association. La diversité des sujets, des auteurs et des disciplines témoigne de la volonté de garantir le pluralisme des idées. Le choix des thèmes et le respect des règles du débat scientifique et démocratique sont assurés par un comité éditorial dont la composition figure à la fin du sommaire.
Le comité éditorial

Adresse

Attac, 21 ter rue Voltaire, 75011 Paris

Directeur de la publication

Jean-Marie Harribey

Secrétariat de la rédaction

Isabelle Bourboulon, Jacques Cossart, Jean-Marie Harribey, Esther Jeffers, Frédéric Lemaire, Christiane Marty, Pascal Paquin, Jeanne Planche, Dominique Plihon, Jean Tosti, Aurélie Trouvé

Responsables techniques

Edgard Deffaud, Serge Gardien, Éric Le Gall, Wilfried Maurin, Pascal Paquin, Tom Roberts, Rémi Sergé, Olivier Tétard, Valentin Drean

Comité éditorial

Sylvie Agard, Christophe Aguiton, Verveine Angeli, Paul Ariès, Geneviève Azam, Daniel Bachet, Jacques Berthelot, Catherine Bloch-London, Martine Boudet, Isabelle Bourboulon, Thierry Brugvin, Thierry Brun, Alain Caillé, Claude Calame, Christian Celdran, François Chesnais, Francoise Clement, Pierre Concialdi, Jacques Cossart, Thomas Coutrot, Christian Delarue, Vincent Drezet, Cédric Durand, Guillaume Duval, Mireille Fanon-Mendès-France, Daniel Faugeron, David Flacher, Fabrice Flipo, Pascal Franchet, Bernard Friot, Jean Gadrey, Susan George, Jérôme Gleizes, Gérard Gourguechon, André Grimaldi, Janette Habel, Nicolas Haeringer, Jean-Marie Harribey, Michel Husson, Esther Jeffers, Isaac Johsua, Pierre Khalfa, Serge Le Quéau, Frédéric Lemaire, Christiane Marty, Gus Massiah, Antoine Math, Dominique Méda, Georges Menahem, Denise Mendez, Pascal Paquin, René Passet, Évelyne Perrin, Dominique Plihon, Thierry Pouch, Daniel Rallet, Jean-Claude Salomon, Catherine Samary, Denis Sieffert, Vicky Skoumbi, Jean-Louis Sounes, Daniel Tanuro, Bruno Tinel, Michel Thomas, Jean Tosti, Éric Toussaint, Stéphanie Treillet, Aurélie Trouvé, Patrick Viveret

Contact avec la revue et soumission d’articles

Les propositions d’articles nouveaux ainsi que les contributions répondant à des textes publiés dans les numéros précédents de la revue doivent être adressées au secrétariat de la revue : revue-cs-secretariat@list.attac.org

La revue a noué un partenariat avec Mediapart à travers une « édition » créée sur ce site : http://blogs.mediapart.fr/edition/la-revue-du-conseil-scientifique-dattac. À chaque parution trimestrielle de la revue, un des articles sera mis en ligne sur Mediapart.

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