Huitième numéro des Possibles, la revue éditée à l’initiative du Conseil scientifique d’Attac

vendredi 20 novembre 2015, par Conseil scientifique d’Attac France

Le huitième numéro de la revue trimestrielle Les Possibles, éditée à l’initiative du Conseil scientifique d’Attac, est disponible. Retrouvez ci-dessous le sommaire de ce numéro et inscrivez-vous pour recevoir la revue.

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Les précédents numéro sont disponibles en ligne Numéro 1 ; Numéro 2 ; Numéro 3 ; Numéro 4 ; Numéro 5 ; Numéro 6 ; Numéro 7.

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Éditorial : Un plan B n’est pas un plan sur la comète (Jean-Marie Harribey, Jean Tosti)

Au moment où ces lignes sont écrites, des terroristes viennent de provoquer un carnage à Paris. La sidération et l’effroi devant cette monstruosité doivent être suivis de la conscience que la barbarie est toujours possible malgré les leçons de l’histoire. Si nous ne voulons pas que ceux qui sèment la mort aient raison, il faut poursuivre le combat pour la démocratie, pour le respect et l’intégrité de tous les êtres humains. La fermeture aux autres signerait leur victoire. Sans aucun doute, la société et nous aussi dans cette revue serons amenés à revenir longuement sur les causes et les conséquences de ces événements qui auront marqué l’année 2015 d’un bout à l’autre.
Sur un plan strictement politique, l’année a été aussi traversée par un fait majeur en Grèce, même si sa conclusion (provisoire ?) a piétiné tous les espoirs que les Grecs avaient pu nourrir et beaucoup de peuples avec eux. Un gouvernement arrive au pouvoir légalement sur la base d’un programme résolument de gauche, visant à mettre fin à une austérité organisée par ceux qui avaient plongé le pays, l’Europe tout entière et le monde dans une crise terrible. Six mois après, il capitule sans conditions devant la classe dominante européenne qui s’acharnait à le réduire à merci.

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Dossier : Questions stratégiques après le coup d’État contre la Grèce

Sortir la Grèce de l’impasse : pour un modèle de développement des activités productives (Gabriel Colletis)

L’accord signé par le gouvernement grec avec ses créanciers à la mi-juillet 2015, accord ratifié quelques jours plus tard par le parlement hellène, consacre l’acceptation par ce premier de la poursuite de l’austérité et celle de l’amplification du programme de privatisation engagé par ses prédécesseurs au pouvoir entre 2008 et 2015. Plus grave, l’accord signé entérine un abandon très significatif de souveraineté, puisque désormais les lois qui seront présentées par le gouvernement au parlement ou encore d’éventuelles options de référendum devront avoir été préalablement validées par les institutions créancières.

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Crises monétaires et budgétaires argentine (2001-2) et grecque (2011-5) : jusqu’où l’histoire peut-elle et devrait-elle bégayer ? (Jonathan Marie)

À de nombreuses reprises, l’abandon de l’arrangement monétaire établi sur le dollar ainsi que le défaut de paiement prononcé par l’Argentine en 2002 ont été évoqués comme l’exemple de voie alternative que la Grèce devrait aujourd’hui emprunter. Plutôt que de rester enfermée dans le carcan monétaire européen et de faire face à un endettement externe écrasant qui « justifie » des politiques d’austérité sapant l’économie domestique, la Grèce devrait suivre l’exemple tracé par l’Argentine au début des années 2000.

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Vers l’institution de monnaies fiscales nationales dans la zone euro ? (Bruno Théret)

L’accession de Syriza au gouvernement en Grèce a mis à l’ordre du jour un type de stratégie de politique économique à la fois susceptible de sauver l’unité de la zone euro tout en remettant à flot l’économie et l’État grecs. Cette stratégie consiste à conserver l’euro en ne le considérant plus comme une monnaie unique, mais comme une monnaie commune, c’est-à-dire partagée par tous les États membres, non exclusive, car complétée par des moyens de paiement nationaux de durée limitée (un ou deux ans) mais renouvelables, adossés à des anticipations d’impôts (« cours fiscal ») et libellés en euro (euro-drachmes, euro-escudos, euro-pesetas, etc.). De telles quasi-monnaies fiscales complémentaires ont été adoptées au plus fort de la crise des années 1930 aux États-Unis par de nombreuses collectivités territoriales et, plus récemment, de 1984 à 2003, par de nombreuses provinces en Argentine. Et, contrairement à ce qui est le plus souvent allégué par les économistes orthodoxes, ce qu’ils qualifient péjorativement de « funny moneys » ont dans de nombreux cas bien rempli leurs fonctions, ce qui explique que plusieurs d’entre elles aient pu perdurer sur une longue période[[ Sur ces expériences historiques, cf. Gatch (2011) pour les USA, et pour l’Argentine Douthwaite (2005), Théret et Zanabria (2007) et Théret (2013).

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Après la Grèce : quelles leçons pour la gauche européenne ? (Thomas Coutrot, Pierre Khalfa)

Disons-le sans fard, l’acceptation par le gouvernement Tsipras d’un nouveau mémorandum constitue une défaite politique majeure, non seulement pour Syriza, qui a immédiatement explosé, mais surtout pour le peuple grec et pour tous les peuples d’Europe. « Les propositions de l’Eurogroupe sont de la folie. Cela va au-delà de la sévérité, vers l’envie de vengeance, la destruction totale de la souveraineté nationale et aucun espoir de soulagement (…) c’est une trahison grotesque de tout ce que le projet européen était censé représenter ». C’est ainsi que le « prix Nobel d’économie » Paul Krugman a qualifié « l’accord » du 13 juillet. Alors que Syriza s’était engagé à restaurer la souveraineté populaire et en finir avec les politiques néolibérales, il a accepté des mesures d’austérité d’une violence inouïe et la mise sous tutelle du pays. Comprendre ce qui s’est passé, évaluer les possibilités d’autres chemins, en tirer les leçons pour l’avenir est une nécessité absolue sous peine de faire une croix définitive sur la possibilité d’une alternative au néolibéralisme en Europe et de laisser la voie libre aux forces d’extrême droite. Cela suppose d’abord de ne pas reprendre l’antienne de la trahison de Tsipras, car ce n’est pas de trahison qu’il s’agit, mais de stratégie.

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Discussion de la « monnaie complémentaire » dite « fiscale » (Jean-Marie Harribey)

L’échec du premier gouvernement de Syriza a montré la nécessité d’un plan alternatif, préalablement préparé à l’ouverture d’éventuelles négociations avec les bureaucrates de la Commission européenne, les pseudo-experts de la BCE et du FMI et les gouvernements représentants d’une classe bourgeoise prête à tout pour conserver pouvoir et richesse. L’un des points-clés d’un plan alternatif concerne la monnaie. Face à l’euro, monnaie unique sur laquelle les peuples n’ont jamais eu aucun contrôle, peut-on imaginer une monnaie qui, en fonction du rapport de force, permettrait soit de rester dans la zone euro mais en retrouvant des marges de manœuvre importantes pour arrêter les politiques d’austérité et amorcer des politiques de transformation sociale et écologique, soit de sortir de cette zone en limitant les dommages ? Dans cette optique, examinons l’une des propositions, celle qui, pour l’instant, semble la plus précise : la monnaie dite fiscale, présentée par Bruno Théret depuis plusieurs années, et reprise récemment avec Wojtek Kalinowski, puis par Thomas Coutrot et Pierre Khalfa.

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Hégémonie – dominance – leadership ? La « question allemande » entre mythes et réalité (Peter Wahl)

L’aiguisement dramatique de la crise grecque en juillet dernier était le point culminant d’un processus qui date de bien avant : l’émergence de l’Allemagne comme facteur très influent dans la gestion de la crise économique de l’Union européenne (UE). Y a-t-il donc de nouveau « une question allemande ? »[[ Sous « question allemande », on entend le rôle de l’Allemagne en Europe depuis la création de l’État national moderne allemand en 1871. Située au centre du continent, avec la plus grande population après la Russie et son potentiel économique, l’essor de l’Allemagne était déjà au XIXe siècle considéré comme facteur déstabilisant et une menace pour ses voisins.

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Tirer des leçons de l’été grec (Felipe Van Keirsbilck)

Le réseau Alter Sommet a connu son premier rassemblement important à Athènes en juin 2013. La volonté était de passer de « conférences » anti-austéritaires, à une « force de changement » en Europe. Ambition probablement ajustée à la hauteur des défis que posait la dé-démocratisation rapide en cours, mais naturellement démesurée quant aux moyens réellement mobilisés. Le « Manifeste d’Athènes », publié alors, reste à nos yeux un texte politique utile pour décrire et hiérarchiser des possibilités pour la reconstruction d’une Europe « sociale, écologiste, féministe et démocratique » comme le proclame notre slogan. Mais trois années d’expérience montrent l’extrême difficulté de la constitution d’un rapport de forces réel qui articule capacités locales (ou nationales) de mobilisation populaire et objectifs politiques européens.

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Grèce et Union européenne : le « coup d’État financier » du 13 juillet 2015. le capitalisme néolibéral et l’annulation des dettes souveraines (Claude Calame)

Avec les promesses de rigueur dans toute campagne électorale, le candidat Jean-Claude Juncker à la présidence de la Commission européenne en mai 2014 a pu faire illusion. Dans ce programme électoral forcément bien intentionné, figuraient non seulement le lancement du marché unique du numérique, la réalisation de l’union européenne de l’énergie et la signature d’un traité transatlantique (TAFTA/TTIP/PTCI) « raisonnable » (sic !), mais aussi le renforcement de l’union monétaire, avec deux objectifs : garder « la dimension sociale de l’Europe à l’esprit » et rééquilibrer « la relation entre les élus et la BCE dans la gestion quotidienne de la zone euro ». Le futur président ajoutait : « Nous devons aussi rééquilibrer la façon dont nous accordons notre soutien à la stabilité des pays de la zone euro en difficulté financière. Je propose qu’à l’avenir, tout support et programme de réforme doit être évalué en termes de viabilité financière et en termes d’impact social. Les effets sociaux des réformes structurelles doivent être débattus publiquement. Mon parti, le PPE, croit en l’Économie Sociale de Marché. En temps de crise, ce principe n’est pas compatible avec le fait que les spéculateurs deviennent encore plus riches, tandis que les retraités ne savent plus comment subvenir à leurs besoins quotidiens » (sic !).

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La crise grecque, un tournant pour l’Europe… et pour nous (Janette Habel)

La stratégie de Syriza… et la nôtre : premiers bilans. Un bilan s’impose sur la stratégie suivie par les dirigeants de Syriza… et la nôtre (nous, la gauche de la gauche). Alexis Tsipras a négocié avec un pistolet sur la tempe. C’était prévisible. Et, depuis cinq mois, il a fait des choix politiques, en témoignent les débats internes de Syriza, les critiques de la plate-forme de gauche et les révélations de Varoufakis.

Il n’y avait pas qu’une stratégie possible, le résultat de celle qui a été choisie est terrible pour les Grecs d’abord, pour les peuples européens ensuite. Tsipras a eu l’honnêteté de reconnaître qu’il s’agit d’un « mauvais accord » (en vérité, un diktat), un avis partagé par des analystes de tous bords.

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Après l’échec de Syriza, rejetons tous les « TINA » et pesons là où se prennent les décisions stratégiques (Catherine Samary)

L’échec de Syriza éclaire une réalité : toute lutte voulant soumettre les financements de marché et bancaires à des critères sociaux et démocratiques se heurtera aux forces, institutions, traités de l’Union européenne (UE) défendant la logique inverse. On ne peut « réformer » cette logique par une « négociation » sans rapport de force. Mais l’échec de Syriza signifie-t-il qu’il était ou devient illusoire de vouloir combattre cette logique dans l’UE et dans la zone euro ? Le débat stratégique européen indispensable ne doit exclure que les réponses xénophobes, sans « essentialiser » (positivement ou négativement) l’euro. C’est la guerre sociale menée du local au planétaire, en passant par l’UE, qu’il faut mettre en échec partout où se prennent les décisions stratégiques – avec un enjeu européen majeur, s’articulant à la fois sur les luttes nationales et internationales.

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La bataille de Grèce, un épisode d’une guerre mondiale prolongée (Gustave Massiah)

Les débats sur la crise grecque et sur la crise ouverte de l’Union européenne ont suscité de très nombreux commentaires et de très nombreuses analyses. Ce débat va se prolonger d’autant que l’évolution, en Grèce et en Europe, est loin d’être achevée. Voici dix pistes de réflexions lapidaires sur le débat en cours.

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Europe et réfugiés : l’élargissement (Etienne Balibar)

Après que les ministres des 28 pays membres de l’Union européenne, réunis le 14 septembre à Bruxelles en session extraordinaire, ont échoué à se mettre d’accord sur la mise en œuvre du plan de répartition proposé par la Commission européenne, ce plan – lui-même de toute façon insuffisant, étant donné le rythme auquel arrivent désormais les réfugiés, venant en particulier de Syrie – a été soutenu majoritairement par les députés au Parlement européen convoqué en urgence. Mais cette décision bienvenue n’entraîne aucun déblocage de la situation de crise qui s’aggrave de jour en jour. Le moment est venu de prendre la mesure de l’événement historique auquel est confrontée la « communauté » des nations européennes, et des contradictions que cet événement a mises au jour entre elles et au sein de chacune.

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Débats

Attac et les mouvements sociaux émancipateurs : redéfinir les repères stratégiques après la Grèce (Philippe Corcuff)

Repenser la question stratégique aujourd’hui, après l’été grec de 2015, c’est-à-dire réinterroger le comment de la transformation sociale radicale dans un moment difficile pour les résistances anticapitalistes, suppose selon moi de tenir compte de quelques-unes des pistes avancées par Daniel Bensaïd pour la formulation même du problème, indépendamment des réponses provisoires et partielles qui peuvent être apportées par les uns et par les autres : prendre conscience de l’ampleur des redéfinitions stratégiques en jeu en regard des erreurs, des échecs, des impasses et des horreurs du XXe siècle ; privilégier l’humilité de la pratique expérimentatrice à l’arrogance théoriciste, rhétorique et/ou identitaire ; renouer un dialogue critique avec les traditions émancipatrices passées.

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Concurrences et convergence des luttes émancipatrices : des thèses pour aborder cette question stratégique (Samy Johsua)

Voici un résumé des thèses que je vais présenter. Les déterminations qui forment le substrat des relations sociales incorporées en chaque individu sont multiples, en fait d’une variété impossible à limiter. Leur combinaison a une stabilité momentanée, mais incertaine, et pourtant cette combinaison pèse sur le contenu de chacune d’elles prise isolément. Le tout (chaque contenu et leur combinaison) est un construit historique, avec de multiples temporalités (pour chacune d’elles et pour leur combinaison).

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An authoritarian, neoliberal union by 2025 (Steffen Stierle)

In mid-June 2015, EU-Commission President Juncker, “in close cooperation” with the Presidents of the Euro Summit, the Eurogroup, the European Central Bank, and the European Parliament, presented the report “Completing Europe’s Economic and Monetary Union”, also known as the Five Presidents’ Report, The plan, formulated in this report, amounts to an authoritarian and neoliberal deepening of the euro area.
À la mi-juin 2015, le président de la Commission européenne Juncker, en étroite coopération avec les présidents du Sommet de l’euro, l’Eurogroupe, la Banque centrale européenne et le Parlement européen, présenta le rapport « Achever l’Union économique et monétaire de l’Europe », connu aussi sous le nom du Rapport des cinq présidents. Le plan formulé dans ce rapport aboutit à un approfondissement autoritaire et néolibéral de la zone euro.

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La Sécurité sociale : 70 ans d’affrontements pour la restreindre ou pour l’étendre (Gérard Gourguechon)

C’est par les ordonnances des 4 et 19 octobre 1945 qu’un système général de sécurité sociale a été mis en place en France. Il y a donc 70 ans. La commémoration n’est pas forcément une démarche dynamisante. Mais elle peut être un moyen de ressourcement. Les 13, 14 et 15 mars 2004, Attac avait organisé à Nanterre un rassemblement autour d’un certain nombre de personnalités de la Résistance, dont Claude Alphandéry, Raymond Aubrac, Philippe Dechartre, Stéphane Hessel, Maurice Kriegel-Valrimont et Lise London. Ceci avait été un moment privilégié d’échanges et de débats. L’Appel des résistants du 15 mars 2004 nous disait : « Soixante ans plus tard (…) notre colère contre l’injustice est toujours intacte ». C’est l’utilité des retours sur le passé : éclairer l’avenir.

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Retraites complémentaires : la régression continue (Christiane Marty)

Un accord de principe sur les retraites complémentaires Agirc et Arrco a été conclu le 16 octobre dernier entre le patronat (Medef, CGPME et UPA) et trois syndicats (CFDT, CFE-CGC et CFTC). L’objectif était de rétablir l’équilibre financier de ces caisses. Suite à la crise, leurs comptes sont devenus déficitaires après 2008 du fait de la dégradation de l’emploi et de la stagnation des salaires. En 2014, le déficit est de 3,1 milliards d’euros. Mais les caisses Agirc et Arrco ont des réserves, respectivement 14,1 et 61,8 milliards d’euros (résultats 2014), dont la fonction est précisément de faire face à une conjoncture défavorable. La dramatisation des difficultés pour assurer le financement futur des retraites est un classique pour mieux faire accepter des réformes régressives. Concernant les retraites complémentaires, les cycles de négociation entre patronat et syndicats de salarié-es se sont succédé depuis une vingtaine d’années. Ils ont organisé une baisse continuelle du niveau relatif des pensions complémentaires servies, comme des pensions à venir, à travers la baisse du rendement du point (voir annexe sur le fonctionnement des régimes complémentaires).

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Pour DES prix différenciés du carbone à la COP21 (Gaël Giraud, Alain Granjean, Benoît Leguet)

Si, suite à la COP 21, aucune perspective de mise en œuvre élargie d’un signal prix carbone n’était ouverte, nous serions déçus. Nous savons que la mise en place de prix du carbone est une condition nécessaire – mais loin d’être suffisante - pour que les agents économiques agissent en vue de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Reste à savoir comment atteindre un tel objectif dans le contexte actuel.

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Revue des revues

Revue des revues 8 (Jacques Cossart)

Sont présentés l’encyclique papale Laudato si « consacrée » au climat et à l’écologie, le projet de l’Unesco pour « Repenser l’éducation », l’aide internationale à la pauvreté, l’origine des inégalités de revenus et les revirements théoriques, sinon politiques, du Fonds monétaire international devant l’inefficacité totale de ses préconisations. D’un bout à l’autre, tout semble être affaire de croyances…

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