Le Monde
Le socle des idées que nous mettons sur la table implique un changement de système, une sortie du système néolibéral et productiviste.
Libération
Autre fait notable : l’initiative réunit une vingtaine d’organisations dont le spectre s’étend de la CGT à Alternatiba en passant par Solidaires, la FSU, Greenpeace France, Oxfam France, les Amis de la Terre, l’Unef ou encore Attac, soit quelque chose qui commence à ressembler à une convergence concrète entre le social et l’écologie, ce doux rêve de gauche que synthétise le slogan « fin du monde, fin du mois, même combat » né dans le sillage des gilets jaunes.
Politis
🧐 Du Contre-G7 qui fut l'occasion de la 1re rencontre entre @lacgtcommunique et @greenpeacefr .. à la publication du "plan de sortie de crise",@Politis_fr revient sur l'histoire du collectif #PlusJamaisCa et imagine quelques perspectives 👇🏽👇🏽https://t.co/eRFBsMMNCk
— Attac France (@attac_fr) May 26, 2020
Au fil des semaines, une coalition extrêmement large d’organisations s’est constituée et – fait nouveau – se déclare désormais résolue à jouer un rôle moteur dans le débat politique. Pour l’heure, l’ovni n’a pas encore de nom. Il est tantôt désigné comme « l’appel des 18 », en référence au nombre de personnalités signataires de sa première tribune, le 27 mars, tantôt nommé « collectif plus jamais ça », du nom de ce fameux appel. Mais il a déjà réalisé plusieurs miracles.
Mediapart
De la #CGT à #Greenpeace, la société civile bouscule la #gauche – par @pgraulle https://t.co/sOy7yGuu6Z
— Mediapart (@Mediapart) May 26, 2020
[Ces organisations] ont réussi un petit miracle : mettre autour de la même table la totalité des responsables des partis politiques de gauche et de l’écologie pour discuter de leurs propositions. « Plusieurs organisations politiques nous avaient écrit suite à la tribune “Plus jamais ça” [qui contenait les ferments du « Plan de sortie » – ndlr] pour nous dire que notre démarche les intéressait, raconte Julien Rivoire, d’Attac. On leur a dit : “OK pour en discuter, mais uniquement si tout le monde est là.” Notre objectif, ce n’est pas du tout de reconstruire la gauche, en revanche, on veut mettre nos revendications, dès maintenant, à l’agenda politique, et montrer au passage que quand on a la volonté de se rassembler, on y arrive. Alors pourquoi pas les politiques ? »
Emission « À l’air libre » avec Cécile Duflot et Philippe Martinez
Basta
« Qu’autant d’organisations, avec des cultures et des histoires politiques aussi différentes, parviennent à se mettre d’accord et acceptent de porter publiquement, ensemble, des mesures fortes et structurantes, ce n’est pas rien. Cela représente un front très large, avec une forte légitimité, analyse Aurélie Trouvé, porte-parole d’Attac. Dans l’histoire des mouvements sociaux, c’est même plutôt inédit ».
France info
Les organisations, ONG, syndicats ou fondations, se disent « convaincues qu’il n’est pas de réponse à l’urgence écologique sans une réelle justice sociale » et soulignent « l’impérieuse nécessité d’une rupture avec les politiques menées jusqu’à présent ». Pour elles, il s’agit rien moins que de « poser les jalons d’un nouveau projet de société ».
France culture
L’AFP
« Plus jamais ça » : syndicats et associations proposent 34 mesures pour sortir de la crise
chercher l’argent « au bon endroit », en régulant l’activité bancaire, en luttant « efficacement » contre la fraude et l’évasion fiscale, en renforçant la taxation des transactions financières ou en supprimant les niches fiscales « inutiles ».
Dépêche reprise dans La Croix, Var matin, L’Est Républicain, Nice matin, Boursorama, RTL Info ...
l’Humanité
En janvier, déjà, huit grandes organisations, en tête desquelles Attac, la CGT, Oxfam et Greenpeace, avaient entamé une démarche en ce sens et lancé un appel à la justice sociale et climatique. Ce dernier faisait suite à une réflexion commune engagée courant 2019, dans la foulée du mouvement des gilets jaunes et des marches pour le climat.
Reporterre
Pour un plan de sortie de crise écologique, « il faut doubler le nombre de paysans »
Alors qu’une vingtaine d’associations et syndicats publient un « plan de sortie de crise », Reporterre s’est concentré sur les mesures de reconversion sociale et écologique de la production agricole proposées : alimentation, emploi, rémunération, installation, libre-échange…
L’Express
Associations et syndicats membres de « Plus jamais ça » soulignent « l’impérieuse nécessité d’une rupture avec les politiques menées jusqu’à présent ». « La crise qui a éclaté en ce début d’année 2020 montre une fois de plus la nécessité de changer de système », estiment les signataires.
La Marseillaise
Actu Environnement
Le collectif demande une loi pour soumettre les entreprises à l’accord de Paris et interdire « les dividendes climaticides », et l’arrêt des soutiens publics aux acteurs polluants. « Aucun investissement public ou garanti par l’État ne doit soutenir le secteur des énergies fossiles ni le développement de nouveaux projets nucléaires, des industries fortement polluantes, de la pêche et de l’agriculture industrielles », précise ce plan de sortie de crise, qui appelle aussi à stopper les accords commerciaux en cours avec le Canada et le Mexique
Le Parisien
« Ce travail commun est la preuve que face à l’urgence sociale et écologique, des convergences sont possibles et porteuses d’espoir. »
LCI
Greenpeace, la CGT et 18 autres organisations proposent 34 mesures de sortie de crise
APPEL - 20 associations et syndicats, regroupés en un collectif, dévoilent ce mardi 26 mai une série de mesures pour préparer le monde d’après.
Le HuffPost
“Plus jamais ça”, c’est le nom d’une pétition lancée il y a quelques mois pour préparer le monde d’après la crise du nouveau coronavirus et qui a abouti ce mardi 26 mai à la présentation d’un plan en 34 mesures. Une vingtaine d’associations portent ce plan, dont Attac, la CGT, Oxfam ou encore Greenpeace, la Confédération paysanne et le Droit au logement
Les Echos
Face à la crise du Covid , il faut d’abord, disent-elles, des mesures d’urgence, comme la gratuité des masques et l’accès aux tests pour tous. Mais la sécurité sanitaire du pays doit aussi passer, estiment-elles, par un plan d’urgence pour l’hôpital public avec un premier plan de 100.000 recrutements et des hausses de salaires, par un plan contre les violences faites aux femmes, ainsi que par la levée de l’État d’urgence sanitaire.
RT
Plan de sortie de crise : « Il faut faire en sorte qu’il n’y ait pas de retour à la normale, le monde d’avant tel qu’il était n’est pas soutenable »#Oxfam #Greenpeace #Covid_19 @attac_fr @raphpradeau pic.twitter.com/lAhzqKzGWU
— RT France (@RTenfrancais) May 26, 2020