A la télévision
A la radio
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Au-delà de la finance et des investissements propres, le greenwashing touche aussi les pratiques internes des entreprises. Ce qui produit des exemples cocasses, comme le rappelle Attac dans son rapport : le nouvel aéroport de Mexico City, réputé neutre en carbone, ou encore, en Espagne, des raffineries et des usines chimiques du géant pétrolier Repsol, rénovées sur le plan thermique.
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Dans les journaux
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Nous sommes dans un capitalisme financiarisé et mondialisé : la finance est un vecteur dominant de l’économie. Les acteurs financiers y jouent un rôle prépondérant. Leur objectif est de maximiser leur rentabilité tout en introduisant des critères d’investissement « extrafinanciers » pour répondre aux demandes des épargnants qui leur confient leur argent.
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Comme si le français était désormais une langue morte, Emmanuel Macron a donné le nom de « One Planet Summit » à la mini rencontre qu’il organise demain sur l’île Seguin, ancien site de Renault à Billancourt. Il s’agira, nous dit-on, de « mettre la finance publique et privée au service de l’action climat ». Mais, comme le relève Maxime Combes, au nom d’Attac, « l’absence de définition claire et précise de ce qu’une obligation verte peut et ne peut pas financer empêche de distinguer celles qui sont compatibles avec l’environnement ou le climat et celles qui ne le sont pas ».
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« L’ONU a récemment rappelé que les États ont donné à peine un tiers du financement nécessaire pour respecter les engagements pris lors de la COP 21. Dans ces conditions, il faudrait urgemment que ce sommet climat soit utile, explique Maxime Combes, économiste proche d’Attac. Mais j’ai peur qu’il ne serve à rien. »
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Dans un rapport publié hier, l’association Attac dénonce l’inefficacité des obligations vertes. L’outil phare de la finance climatique ne représente au final qu’une niche. Entretien.
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