Au vu des éléments de preuve apportés par Attac, du témoignage touchant d’une personne rappelant les conditions d’existence d’une titulaire du RSA et des déclarations d’une porteuse de valise débordante de billets, un juge inflexible a condamné les banques à écouter la sentence sous la forme de 2 chansons « Ces maudits requins » sur l’air -approximatif- de « Les copains d’abord » suivi de « Savez-vous planquer les sous », chanson populaire bien connue. La presse écrite régionale était présente et une journaliste a assisté à l’entretien dans les locaux de l’agence.