Les profonds mouvements sociaux en cours (celui des gilets jaunes, mais aussi ceux des mal-logés, des précaires, des jeunes et des retraités, des travailleurs pauvres, des associations de consommateurs et de défense de l’environnement…) se retrouvent tous pour dénoncer l’aggravation des injustices fiscales et sociales dans le pays, le recul des services publics de proximité. Ils revendiquent sous des formes diverses une plus grande transparence et la mise en œuvre d’un véritable contrôle démocratique direct des citoyens sur les décisions liées au budget, aux choix d’investissement publics, au pouvoir d’achat et donc aux salaires.