Inutile de faire à nouveau le réquisitoire du capitalisme, il est déjà si lourd qu’il finit par nous assommer.
Face à l’austérité et à son cortège de misères sociales, face au chômage et le précarité, face à la catastrophe écologique et à l’épuisement des ressources naturelles, face à la montée des extrêmes droite à l’échelle européenne...
des solutions existent pour régler à la fois la question sociale et écologique.
Oui la planète est déjà assez riche pour permettre à 7 milliards d’humains de vivre dignement.
Comment organiser la gratuité des services publics (eau vitale, transports en commun, restauration scolaire, services funéraires, etc ) ?
Quelles sont les expériences et que nous apprennent-elles ?
Comment rendre la parole à ceux qui en sont privés ? Comment mieux écouter les plus faibles ?
Quel grain à moudre pour une nouvelle démocratie écologique et sociale ?
Le « socialisme gourmand » pourrait être une façon d’inventer une Objection de Croissance qui ne soit pas celle des donneurs de leçons...
Les gens sont moins bêtes que désespérés, moins manipulés qu’angoissés.
Ce qui importe, c’est d’en finir avec les passions tristes qui sont au cœur du capitalisme.
Ce qui importe, c’est de passer aux passions joyeuses.
Venez partager cette bonne nouvelle avec Paul Ariès.