Note d’intention :

Voilà déjà sept ans, que mon travail s’est orienté vers l’éducation populaire. Après 350 représentations, trois spectacles, un sur la dette, un sur l’économie international et un sur la démocratie ; je reviens avec un quatrième opus de « One man Show citoyen ».

Ce spectacle, profondément ancré dans l’humanisme, n’en n’oublie pas de le questionner, une parole citoyenne mélangeant une analyse de notre époque avec l’humour.

J’ai voulu questionner la notion de « pouvoir ». Jusqu’ici, je l’avais toujours abordé de manière implicite mais cette fois, j’ai voulu entrer totalement dans le sujet.

Le narrateur est un fou, parce que c’est le personnage qui peut parler aux puissants et au peuple. Avoir le pouvoir, prendre le pouvoir, donner le pouvoir, subir le pouvoir, le sujet est vaste. En tirant ce fil et en voyant tout ce que cela implique, cela permet de mieux comprendre le monde dans lequel nous évoluons.

Au niveau économique, l’histoire de la pensée économique nous permet de mieux comprendre l’origine des discours officiels, les ficelles mis en place pour les diffuser et toute la dialectique qui va avec.

Les répercutions sont nombreuses, le champ politique, la sociologie et évidement notre quotidien... l’idée n’est pas de faire une liste à la Prévert mais de voir les questions que cela pose, les limites et d’en rire.

En amont de la sortie du spectacle, une série de clips de 2‐3 minutes, pour déconstruire le discours économique habituel seront publiés régulièrement sur le net et seront diffusé via mail, youtube et Facebook. Alors à vos souris.

Présentation

Puisque nous devons vivre ensemble, nous devons régler nos montres à la même heure, non ? Oui, mais l’heure est grave. Et bien puisque l’heure est grave, il va falloir en rire.

Un fou commence par ranger sa chambre et à réfléchir sur le « vivre ensemble », ça promet. Il met son nez dans notre quotidien et la notion de pouvoir. Aïe, aïe, aïe...

Au fur et à mesure qu’il avance, minutieusement il va soulever tous les lièvres de la politique, de l’économique, de nos dialectiques et tout ce genre de hic. Personne ne va être épargné.

De plus, qui dit pouvoir, dit contre pouvoir et peut‐être quand tout le monde sera passé à la moulinette, on pourra se demander qui est le plus fou d’entre nous et comment un autre monde est possible.

Faire de l’éducation populaire joyeuse. Voilà l’enjeu de ce spectacle. Un rendez vous avec nos mésaventures, nos envies et ... nos zygomatiques.