- décrédibiliser un syndicat progressiste, dont l’engagement pour l’indépendance de la justice, contre l’impunité des puissants et les pressions politiques ou policières n’est plus à prouver ;
- jeter plus largement le discrédit sur les juges, à un moment où les affaires se multiplient, notamment autour du financement de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy de 2007.
Attac affirme haut et fort son soutien au Syndicat de la magistrature, face aux attaques médiatiques et aux menaces dont il fait l’objet.