Deuxième numéro des Possibles, la revue éditée à l’initiative du Conseil scientifique d’Attac

lundi 24 février 2014, par Conseil scientifique d’Attac France

Le second numéro de la revue trimestrielle Les Possibles, éditée à l’initiative du Conseil scientifique d’Attac, est disponible.

Retrouvez le sommaire de ce troisième numéro.

Les précédents numéro sont disponibles en ligne Numéro 1 ; Numero 2.

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Sommaire de la revue

Éditorial : La nouvelle trame : le chant du cygne de la croissance ? (Jean-Marie Harribey, Jean Tosti)

On se souvient que l’ancien président français Nicolas Sarkozy entendait aller « chercher la croissance avec les dents ». Le nouveau, François Hollande, est, quant à lui, contraint de voir cette croissance traîner les pieds. Il a beau s’agiter, réciter le même mantra, rien n’y fait. Il faut dire que les politiques d’austérité mises en œuvre, en France et dans toute l’Europe, en interdisent la reprise. Mais, au-delà de l’effet désastreux de ces politiques, il faut bien voir que la croissance économique forte ne reviendra plus, en tout cas sur de longues périodes, dans les pays anciennement industrialisés, pour des raisons qui tiennent à la fois à l’essoufflement des gains de productivité du travail et à la raréfaction de beaucoup de ressources naturelles. La crise systémique du capitalisme mondialisé se niche dans la conjonction de ces deux limites à l’accumulation infinie. Dans le même temps, les premiers éléments publiés du cinquième rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) confirment le risque de réchauffement de la planète dans des proportions non maîtrisables.

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Dossier : L’écologie, nouvel enjeu

L’Anthropocène et ses lectures politiques (Ange)

Bien plus qu’une crise environnementale (dont le marché, la croissance verte ou la technologie nous sauveraient), l’Anthropocène signale une bifurcation de la trajectoire géologique de la Terre causé non pas par l’« Homme » en général, mais par le modèle de développement qui s’est affirmé puis globalisé avec le capitalisme industriel.

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La transition énergétique : pourquoi, pour qui et comment ? (Benjamin Dessus)

De même que le terme de « développement durable » s’est banalisé en dérivant rapidement de la notion initiale d’un développement équilibré, vivable pour tous les hommes et pour la planète, vers l’exigence d’un maintien d’une croissance durable (au sens de continue), celui de « transition énergétique » est aujourd’hui passé dans le langage courant de la communication, non sans subir comme son aîné une dérive de son sens initial.

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La transition énergétique : bonne ou mauvaise pour l’emploi ? (Philippe Quirion)

Du fait du niveau historiquement élevé du chômage, les politiques énergétiques et climatiques sont, à tort ou à raison, évaluées selon leur impact sur l’emploi. Ainsi, Henri Proglio, PDG d’EDF, a-t-il affirmé qu’en cas de sortie du nucléaire en France « un million d’emplois seraient mis en péril », ce qui a amené Anne Lauvergeon à déclarer qu’il avait « fumé la moquette » (La Tribune, 2011). Inversement, les partisans d’une sortie du nucléaire mettent en avant les créations d’emplois que ces politiques permettraient (Greenpeace International et al., 2012). Une partie de la divergence des résultats provient des différences dans le périmètre considéré : comme toute politique sectorielle, les politiques énergétiques et climatiques créent des emplois dans certaines activités et en détruisent dans d’autres. Pour calculer l’effet net sur l’emploi, il est donc nécessaire de prendre en compte à la fois les créations et les destructions d’emplois.

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Comment penser une « prospérité sans croissance » ? (Jean Gadrey)

Je mettrai l’accent dans cet article non pas sur des scénarios de transition (il en existe d’excellents dans certains secteurs : agriculture, énergie, bâtiments, transports…), mais sur les catégories de pensée et sur leur renouveau selon moi nécessaire. Je retiens pour commencer une hypothèse que je développerai peu, car je l’ai fait dans d’autres écrits, dont mon livre Adieu à la croissance : la voie d’une « prospérité sans croissance », en référence au titre du livre de Tim Jackson, est nécessaire, désirable, et crédible. Elle ne pourra pas être empruntée sans une forte réduction des inégalités.

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L’État comme interface entre le capitalisme et la nature (Razmig Keucheyan)

L’exploitation des ressources naturelles est, depuis toujours, une condition nécessaire de l’accumulation du capital. Comme l’a encore récemment montré Timothy Mitchell dans son livre Carbon Democracy, aucun secteur des sociétés modernes n’échappe à l’emprise des énergies fossiles (charbon, pétrole), y compris les institutions démocratiques qui s’y sont développée

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Sport, infrastructures et totalitarismes (Michel Caillat)

Personne ne peut le nier : le sport sature notre espace et notre temps. Or, malgré ses centaines de millions de licenciés sur la planète (15 millions en France), ses milliers d’heures d’antenne à la radio et à la télévision, ses milliards de téléspectateurs, son intégration totale à « l’économie-monde », son implacable marchandisation, sa puissance idéologique, son pouvoir sur les corps, son vocabulaire qui inonde la sphère politique et médiatique, malgré son omniprésence dans la vie quotidienne, il reste un sujet méconnu et tabou. La place centrale qu’il a prise dans nos sociétés semble le protéger de la critique.

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Le paradigme écologique et le politique (Gustave Massiah)

L’écologie s’est imposée comme un nouveau paradigme. Ce paradigme modifie la pensée de l’émancipation et renouvelle la pensée de la transition. Dans cette contribution, nous voudrions avancer quelques réflexions autour de quatre entrées : penser la situation, ses contradictions et la nature de la crise en tant que crise de civilisation ; penser le monde à travers les débats écologistes ; penser la transition, à partir des avenirs possibles ; penser le politique, la culture politique et le rapport au politique.

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Penser l’écologisme comme force sociale (Fabrice Flipo)

L’analyse du mouvement écologiste n’a pas encore trouvé de théorie qui se constitue en référence unanime, ou au moins centrale. Ensociologie, les discussions tournent malgré tout autour d’Alain Touraine. Cet auteur développe deux thèses qui s’avèrent en effet pertinentes du point de vue de l’esquisse d’une philosophie politique écologiste. La première est que l’écologisme s’inscrit plus généralement dans une crise de la modernité, et avec elle une crise de la sociologie, en tant que celle-ci est massivement une sociologie de la modernité. Cette analyse est juste, mais nous la laisserons de côté dans cet article. Nous nous intéresserons plutôt au second point : le fait que l’écologisme soit un mouvement « culturel », au sens où il porte sur un changement dans l’ordre des valeurs, avec en point cardinal cette « valeur intrinsèque » accordée aux écosystèmes ou aux êtres vivants.

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Pour dépasser l’opposition nature/culture : une perspective anthropologique et altermondialiste (Claude Calame)

La distinction en contraste entre nature et culture a été, en quelque sorte, canonisée par la pensée structurale des années 1970. Du côté francophone, elle a deux sources.

On connaît la conséquence que, dans le Discours de la Méthode (La Haye 1637), Descartes tire de la physique comme connaissance « utile à la vie ». Portant sur « la force et les actions du feu, de l’eau, de l’air, des astres, des cieux et de tous les autres corps qui nous environnent », soumise à des usages appropriés, elle est susceptible de nous rendre maîtres et possesseurs de la nature (1966 : 168). Non seulement notre environnement est objectivé en une nature physique, mais cette nature peut être dominée par l’homme, dans une perspective utilitariste ; dans le cas particulier il s’agit de l’alimentation et de la santé de l’homme.

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Sur la valeur de la nature, éviter le fétichisme (Jean-Marie Harribey)

Ce texte est une version remaniée de celui présenté au colloque « Penser l’écologie politique : sciences sociales et interdisciplinarité » Université Paris 7, janvier 2014. Il s’appuie sur J.-M. Harribey, La richesse, la valeur et l’inestimable, Fondements d’une critique socio-écologique de l’économie capitaliste, Paris, LLL, 2013.

Le paradoxe n’est pas mince : la plupart des économistes et, au-delà, la société presque unanime, réclament toujours plus de richesse à produire et consommer, toujours plus de valeur économique à se partager, mais peu s’interrogent sur ce que sont ces abstractions. L’objet du désir est fortement convoité, mais son analyse est refoulée. La mal nommée « science » économique a délibérément écarté tout questionnement qui aurait risqué de remettre en cause ses fondements méthodologiques.

Le moment est particulièrement opportun pour remettre au centre du débat théorique la première question de l’économie politique – l’origine et la mesure de la richesse et de la valeur dans la société – ainsi que sa critique, car le capitalisme aujourd’hui mondialisé plonge l’humanité dans une crise totalement inédite, par son ampleur, par sa durée et par sa multi-dimensionnalité.

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Éloge de la « croissance des forces productives » ou critique de la « production pour la production » ? Le « double Marx » face à la crise écologique (Anselm Jappe)

Heureusement, les temps sont passés où l’on pouvait l’emporter sur un adversaire dans un débat rien qu’en citant un passage approprié de Marx (ou en l’inventant, comme le faisait Althusser selon son propre aveu). Heureusement, sont aussi passés les temps où l’on devait avoir honte de se référer encore à un auteur que la chute du mur de Berlin aurait réfuté à jamais, selon la doxa néolibérale. Aujourd’hui, il est difficile de ne pas utiliser les instruments de Marx pour comprendre ce qui nous arrive, et en même temps nous ne sommes pas obligés de prendre au pied de la lettre chacune de ses phrases.

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Débats

Les projets d’infrastructures de transport, tous « inutiles et imposés » ? (Philippe Mühlstein)

Les projets de nouvelles infrastructures ferroviaires suscitent des réactions tranchées et hostiles d’associations ou de partis se réclamant de l’écologie, de l’altermondialisme ou de la « gauche de gauche ». Ces réactions les conduisent à s’opposer à tous ces projets et à exiger dans tous les cas l’alternative consistant à utiliser plus intensivement les lignes ferroviaires existantes, moyennant leur modernisation. Ce systématisme accompagne un vaste amalgame de tous les projets, ferroviaires ou autres, à des « projets inutiles et imposés ». Ce vocable est mobilisateur, tant les projets plus ou moins pharaoniques, coûteux pour le contribuable et souvent très nuisants pour l’environnement, ont proliféré depuis les années 1950-60, justifiés par l’idéologie productiviste de la « croissance » qui domine encore parmi le personnel politique. Pourtant, ce vocable et cet amalgame sont réducteurs et fallacieux. Plutôt que de céder au simplisme d’une opposition systématique, ne convient-il pas d’examiner au cas par cas les projets ferroviaires pour déterminer l’intérêt d’en réaliser certains, en tout ou partie, et définir à quelles conditions précises cet intérêt pourrait se concrétiser, à la fois sur les plans écologique et social ?

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Financiarisation au Brésil : « un tigre en papier, avec des dents atomiques » ? (Pierre Salama)

Peut-on considérer qu’au Brésil il y ait une financiarisation heureuse ? Dans un monde où l’essor de la finance s’accompagne d’une inégalité de revenus croissante, d’une précarisation des emplois en forte hausse, d’une désaffiliation importante et d’une tendance à la stagnation des salaires réels, le Brésil se détache par sa singularité. D’un côté, la finance se développe, le crédit prend son essor, les réserves internationales augmentent, et d’un autre côté, la pauvreté baisse, les inégalités de revenus diminuent légèrement, les salaires augmentent, le ratio emplois formels/emplois informels s’améliore, le chômage est en baisse et les capacités de production oisives restent réduites. La financiarisation est-elle un « tigre en papier », comme jadis, dans les années 1960, la Chine qualifiait les États-Unis ?

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Cinquante ans d’éducation populaire et de résistance à la dictature (Aparecida Horta)

La génération à laquelle j’appartiens, née autour des années quarante, a vécu sa jeunesse et son début d’âge adulte sous la dictature qui a dominé le Brésil de 1964 à 1984. Notre début d’apprentissage de la vie démocratique s’est fait sous une apparente ouverture politique qui se mit en place à la fin des années 1970, de façon progressive, lente et articulée. Cependant, ce moment politique s’installait comme une transition négociée avec les anciens dictateurs, qui d’ailleurs se sont accordé une auto-amnistie pour leurs crimes d’usurpation de pouvoir, de tortures, de morts et de disparitions des opposants politiques. Cette transition négociée a permis également la réalisation d’élections indirectes qui se sont déroulées en 1985.

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Déstabiliser le compromis à droite, imaginer une stratégie pour la gauche (Gérard Duménil, Dominique Lévy)

À droite toute ! Pour ceux qui en doutaient encore, le pacte dit « de responsabilité » ajoute encore à la lisibilité des options économiques et politiques du gouvernement de François Hollande. Et le remaniement ministériel suscité par le recul du Parti socialiste aux élections municipales de mars 2014 n’a fait que confirmer ce diagnostic. Dans la situation où la crise de 2008 a laissé les économies d’Europe et des États-Unis, les politiques de toutes les droites – française, allemande, états-unienne… – tournent autour d’un même axe commun : peser sur le coût du travail. Cela signifie couper les pouvoirs d’achat et réduire les protections sociales, ou diminuer les coûts salariaux tout en prétendant ne pas entamer les salaires comme dans le pacte – la quadrature du cercle !

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C’est le moment de bifurquer (Jean-Marie Harribey)

Les auteurs sont deux chercheurs en économie sortant de l’ordinaire. D’abord, parce que, depuis au moins trente ans, ils analysent ensemble, avec une précision méticuleuse, les soubresauts de l’économie capitaliste mondiale dans sa phase néolibérale, et cela, ce qui fait toute leur originalité, en utilisant les concepts et la méthodologie de Marx. Ensuite, parce qu’ils ne se contentent pas de produire des analyses très techniques de renommée internationale, notamment sur l’économie des États-Unis, ils ont à cœur d’en présenter l’essentiel destiné aux militants, aux citoyens engagés dans la lutte quotidienne contre les dégâts des politiques néolibérales. À ce double titre, leurs contributions dans les colloques « Marx international » et dans la revue Actuel Marx, ou encore dans le cadre d’Attac, sont toujours reçues avec beaucoup d’intérêt.

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Une question stratégique centrale : En finir avec le néolibéralisme (Gustave Massiah)

Voilà un livre remarquable. Rigoureux et audacieux. Gérard Duménil et Dominique Lévy abordent directement la question stratégique centrale, celle de la sortie du néolibéralisme, en tant que phase actuelle de la mondialisation capitaliste. Ils s’attaquent à la question la plus difficile, celle d’une sortie positive dans les vieux centres, particulièrement en Europe.

Il s’agit de réaffirmer un projet d’émancipation qui se situe dans la continuité de deux siècles et demi de luttes, des révolutions du XVIIIe siècle et de la montée en puissance de la classe ouvrière qui a suivi le développement de la grande industrie. Le livre ambitionne d’explorer le passage d’un projet progressiste à une émancipation sociale radicale.

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Les nouveaux habits du commun (Thomas Coutrot)

Avec Commun, Pierre Dardot et Christian Laval nous font un beau cadeau. On n’a pas souvent l’occasion de se coltiner un livre aussi volumineux où pratiquement chaque page éclaircit les idées ou alimente la curiosité. Dévoilons d’emblée la thèse centrale du livre, qui en indique à la fois l’ambition théorique et l’importance pour un mouvement comme Attac : « commun » est devenu le nom d’un régime de pratiques, de luttes, d’institutions et de recherches ouvrant sur un avenir non capitaliste.

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La revue des revues

Investissement direct étranger, démiurge du capitalisme ! (Jacques Cossart)

Le terme « investissement » séduit-il en raison de la promesse d’avenir qu’il évoque ? Les propriétaires du capital prétendent sans vergogne que leurs profits sont le fait générateur indispensable pour investir, alors que cela n’est plus vérifié dans la période néolibérale (voir « Le débat sur le taux de profit » de Michel Husson). Par ailleurs, quand il s’agit d’investir à l’étranger, l’IDE (investissement direct à l’étranger) devient le Graal que recherchent tous les pays.

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Trop d’impôt tue l’impôt ! (Jacques Cossart)

Il fallait bien que l’aphorisme de comptoir soit véhiculé avec l’élégance supposée que savent donner les « savants », en particulier lorsqu’ils sont économistes. Arthur Laffer l’a fait avec sa fameuse courbe en cloche qui prétendait démontrer que, passé le taux maximum qui sépare les taux faibles des pourcentages dissuasifs, le rendement de l’impôt diminuerait à due proportion. Pour élégante et simple qu’elle soit, la courbe de Laffer n’a jamais été validée par l’histoire économique. Les coups de menton des Thatcher et autres Reagan ne valent pas démonstration !

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Quand le FMI renforce les évidences (Jacques Cossart)

Le Fonds monétaire international (FMI) publie un Working Paper relatif à l’efficacité des restrictions de sorties de capitaux. Cette étude est menée à partir de l’examen portant sur 37 économies émergentes, dont près de la moitié en Europe, notamment de l’Est.

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Trente ans de la France (Jacques Cossart)

Le service public des statistiques françaises, l’INSEE, publie fin janvier 2014 « Trente ans de vie économique et sociale ». Si l’étude porte sur les trois décennies 1980, 1990 et 2000, elle reprend des données qui vont bien en deçà, puisque certaines remontent à 1949 et même 1910 ; il s’agit donc d’une photographie de la France prise dans un large cadrage.

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Capitalisation boursière (Jacques Cossart)

Un dossier publié le 2 janvier 2014 par lesechos.fr vaut la peine d’être regardé. Il montre, à partir des données tirées de Bloomberg News, la situation de la capitalisation boursière mondiale. Cette agence de référence en matière financière appartient à Michael Bloomberg, maire de New York jusqu’à la fin de l’année 2013 et figurant à la seizième place des fortunes mondiales dans le dernier classement Forbes.

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Le négoce des matières premières, y compris alimentaires (Jacques Cossart)

Au cours de la décennie 2000, le commerce mondial a été multiplié par 3, pour atteindre, en 2011, plus de 16 000 milliards de dollars courants pendant que, sur la même période, le PIB mondial a doublé et alors que le négoce des matières premières – compte non tenu des produits financiers dérivés dont il est très friand – a enregistré un coefficient multiplicateur de 6.

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Sur la richesse et la valeur (La Rédaction des Possibles)

La discussion autour du livre de Jean-Marie Harribey, La richesse, la valeur et l’inestimable, Fondements d’une critique socio-écologique de l’économie capitaliste, Paris, Les Liens qui libèrent, 2013, dont le n° 1 des Possibles avait donné un aperçu, s’est développée dans la revue Contretemps, dans Politis et dans Charlie Hebdo.

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