La dette publique : un pouvoir légal des financiers sur les états
Les banquiers privés placent leurs hommes au cœur des États et des institutions internationales (FMI, BM)
Les banques et les propriétaires des grandes banques représentent l’un des pivots du pouvoir mondial.
Banques, FMI, BM et paradis fiscaux, accélérateurs de la gouvernance néolibérale et adémocratique
Les paradis fiscaux favorisent les flux financiers illégaux et massifs
Les paradis fiscaux renforcent les détournements et le blanchiment par les banques.
Créer des sociétés écrans dans des paradis fiscaux et judiciaires permet d’échapper aux pouvoirs publics.
Les banques classiques sont les canaux de transmission de l’argent illégal et mafieux.
Les paradis fiscaux permettent d’échapper aux droits sociaux et à la justice.
Les délits d’initiés sont parfois au service d’opérations spéculatives sur la dette publique.
Le système des prêts gagés sur une production future permet de s’enrichir sur le dos d’un État.
Les banques (privées, FMI et BM) ont une part de la responsabilité des dettes de corruption.
L’État de droit à la Banque Mondiale, est-il une condition oubliée de la démocratie ?
Le FMI et la Banque Mondiale brisent la souveraineté des États grâce à la conditionnalité des prêts de la dette.
Les dettes d’élites représentent le coût de la mauvaise gestion et des intérêts de classe.
Les banques appuient parfois à la répression des populations et au soutien des dictateurs.
Certaines banques soutiennent des marchands d’armes à la guerre et la dette de guerre.
La dette : instrument de domination sur les pays en developpement
Le Franc-CFA contribue à la domination africaine.
La dette des PED sont un instrument d’enrichissement des pays industrialisés.
La dette gérée par la Banque mondiale est parfois illégale.
Les narcodollars permettent de rembourser la dette publique.
Les dettes de développement et le coût des projets dit « éléphants blancs » plombe les PED.